La fibromyalgie concerne beaucoup de personnes aujourd’hui. J’écris cet article en guise de synthèse, pour que cela puisse être lu rapidement par les intéressés.
I Le physique (ça compte aussi…)
Il m’a fallu mettre en place toute une série de solutions pour permettre au corps de se relâcher musculairement.
J’ai d’abord trouvé un kiné qui pratiquait ce qu’on appelle la Point Trigger thérapie, que j’allais voir environ 2 fois par mois.
Chez la personne atteinte de fibromyalgie, beaucoup de Point triggers se forment, ou « points gâchettes » : c’est-à-dire des sortes de boules de toxines le long des chaînes musculaires. Il m’a fallu travailler régulièrement dessus, à l’aide de différentes méthodes, pour donner au corps l’injonction de se relâcher. Bien que ces « points » se reformassent environ deux semaines après chaque séance.
J’allais à la piscine environs 3 à 5 fois par semaine (minimum 20 minutes si fatigué), avec toujours 10 minutes d’étirements intégraux ensuite.
Ce qui permettait au corps également de se relâcher régulièrement (par tension-relâchement), de maintenir un certain drainage des toxines par le mouvement, ainsi qu’un minimum de masse musculaire.
Je marchais aussi autant que possible : ballades en parcs ou en nature.
II La diététique
J’effectuais régulièrement des diètes de 3 mois (il m’était difficile de tenir plus longtemps), pendant lesquelles j’éliminais les aliments les plus inflammatoires : gluten, lait de vache, alcool, viande rouge…
Je complétais avec divers compléments alimentaires, pour :
1 _ Faciliter la digestion et limiter les reflux (ex : infusions de sauge, aloe vera, bien sûr beaucoup de légumes verts…)
2_ Aider le corps à se désenflammer ( ex : curcumine, infusion de fleurs de soucis… )
3_ Aider le corps à se détoxifier (cure de détox du foie, des reins… Également pendant un certain temps des boules de plantes sèches mélangées venant directement d’Inde _je ne me rappelle plus de la marque_, dont l’effet fut très puissant…)
Je fus dans ce domaine accompagné par différents praticiens, à chaque fois de disciplines différentes : naturopathie, Médecine Traditionnelle Chinoise, Médecine Ayurvéda…
De plus, je me massais régulièrement le ventre, par sessions de 10-20 minutes, pour faciliter le transit et limiter les spasmes digestifs au maximum (qui ont une réelle incidence, ensuite, sur les douleurs périphériques).
III L’énergétique
C’est par là que les changements les plus importants eurent lieu.
Au gré d’une pratique méditative assez intense et maintenue, je compris que le gros des douleurs était dû à des mémoires émotionnelles comme « incrustées » dans le corps.
J’arrivai, par ces pratiques, à diminuer leur dimension conflictuelle et négative, ce qui générait à chaque fois un soulagement physique quasi immédiat.
On parle beaucoup de « mémoire cellulaire » aujourd’hui, je pense que cela fait référence à ça.
Je compris qu’il ne fallait pas « lutter contre la douleur », comme on le fait par exemple en hypnose, mais que la douleur était une injonction du corps à se libérer de ces mémoires, de ces « programmes ».
Après un certain temps, tout ce travail d’introspection, de respiration et de visualisation porta ses fruits : je ne me sentis plus saturé par les douleurs, et je pus reprendre les activités physiques diverses et vivre normalement.
Comment je peux vous aider ?
Moi, c’est surtout sur le troisième point que je peux intervenir.
Le but est de vous enseigner cette possibilité de rentrer avec la conscience dans le monde « des mémoires du corps », dans toutes ses dimensions, pour aider à une libération.
C’est, je pense, l’aspect le plus important.
Bien sûr, cela prends du temps, c’est assez progressif, et dépend beaucoup de la motivation de chacun.
Pour travailler avec moi, il faut surtout du temps pour s’exercer, une haute motivation et être assez ouvert aux méthodes de thérapies alternatives.
En tous les cas, je vous invite à lire mes autres articles, et consulter les vidéos !
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