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 Les élémentaux sont des consciences-énergies présentes dans la Nature, en particulier.

En général, ils ont un point d’accroche concret: une pierre, un arbre, une plante, un cours d’eau…

On peut les voir sous la forme de champs d’énergie, de sphères exerçant une poussée sur la personne réceptive, de colorations variées, bleutées pour les esprits de l’eau, dorées pour les faunes (à la base des arbres), argentées, vert-chlorophylle…

 Leur contact est tantôt revigorant, apaisant, il nettoie ou stimule… Lorsque on entre en contact avec un élémental, on a un sentiment de sérénité immense, hors du temps. En fait on entre «en phase» avec sont temps à lui, on commence à percevoir le monde depuis sa dimension. Le cœur immédiatement réagit: il reconnaît, s’apaise…   Lorsqu’on focalise sur eux avec la conscience _en tous cas pour les clairvoyants_, on peut les voir sous leurs formes archétypales, vivantes, ils s’animent à notre contact.  Parfois ils semblent danser en tournant, palpitent…

En quelque sorte, notre conscience et notre cœur leur donnent cette forme.

Les ondines se voient comme des femmes nues au contact extrêmement apaisant, libérant les tensions du corps…

Les Faunes sont des créatures très masculines, à la base des arbres, d’aspect assez difforme, au contact desquelles on se sent beaucoup plus fort.

On peut en voir bien d’autres, tels que les elfes, les vouivres, les gnomes… Mais je le répète, ce sont plutôt des énergies auxquelles notre perception donne formes. Enfin c’est une manière d’expliquer la chose.

Il y en a, en fait, partout, c’est la partie vivante des choses, si l’on veut. Certaines sont extrêmement denses, concrètes, comme les créatures que l’on trouve sous le sol. Leur contact peut-être extrêmement stimulant, jusqu’à augmenter la force physique.

Ce qu’il faut comprendre, c’est que nous les percevons tous, inconsciemment, nous interagissons en permanence avec eux, ils nous traversent.

Mais en général, ils nous subissent plus qu’autre choses, notre détresse d’êtres éphémères les «salissent» pas mal, faisant baisser leurs vibrations.

Néanmoins ils adorent qu’on se tourne vers eux lorsque, blessés ou fatigués, humblement nous demandons de leur énergie, qu’ils partagent sans problème, étant elle-même infinie.