La fibromyalgie concerne beaucoup de personnes aujourd’hui, donc j’écris cet article en guise de synthèse de tout ce que j’ai déjà écrit, pour que cela puisse être lu rapidement par les intéressés.
Ensuite j’expliquerai en quoi je peux aider à travers l’accompagnement que je propose.
I Le physique (ça compte aussi…)
Il a fallu que je mette en place toute une série de dispositions pour permettre au corps de se relâcher musculairement.
J’ai pu trouver un kiné qui pratiquait ce qu’on appelle la Point Trigger thérapie, que j’allais voir environ 2 fois par mois.
Chez la personne atteinte de fibromyalgie, beaucoup de « Point triggers » se forment, ou « points gâchettes », c’est-à-dire des sortes de boules de toxines le long des chaînes musculaires. Il a fallu travailler régulièrement dessus, pour donner au corps l’injonction de se relâcher. Bien que ces « points » se reformassent environ deux semaines après chaque séance.
Ensuite, j’allai à la piscine environs 3 à 5 fois par semaine (minimum 20 minutes si fatigué), avec toujours 10 minutes d’étirements intégraux ensuite.
Ce qui permettait au corps également de se relâcher régulièrement (par tension-relâchement), de maintenir un certain drainage des toxines par le mouvement, ainsi qu’un minimum de masse musculaire.
II La diététique
Je faisais régulièrement des diètes de 3 mois (il m’était difficile de tenir plus longtemps), où j’éliminai les aliments les plus inflammatoires : gluten, lait de vache, alcool, viande rouge…
Je complétai avec divers compléments alimentaires, pour :
1 _ Faciliter la digestion et limiter les reflux (ex : infusions de sauge, aloe vera, bien sûr beaucoup e légumes verts…)
2_ Aider le corps à se désenflammer ( ex : curcumine, infusion de fleurs de soucis… )
3_ Aider le corps à se détoxifier (cure de détox du foie, des reins… Également pendant un certain temps des boules de plantes sèches mélangées venant directement d’Inde _je ne me rappelle plus de la marque_, dont l’effet fut très puissant…)
Je fus accompagné par différents praticiens, à chaque fois de discipline différentes : naturopathie, Médecine Traditionnelle Chinoise, Médecine Ayurvéda…
De plus, je me massai régulièrement le ventre, par sessions de 10-20 minutes, pour faciliter le transit et limiter les spasmes digestifs au maximum (qui ont une réelle incidence ensuite sur les douleurs périphériques).
III L’énergétique
C’est par là que les changements les plus importants s’opérèrent.
Au gré d’une pratique méditative assez intense et maintenue, je pus comprendre que le gros des douleurs était dû à des mémoires émotionnelles comme « incrustées » dans le corps.
J’arrivai, par ces pratiques, à diminuer assez leur aspect lourd, conflictuel et négatif, ce qui créait à chaque fois un soulagement physique quasi immédiat.
On parle beaucoup de « mémoire cellulaire » aujourd’hui, je pense que cela fait référence à ça.
Je compris qu’il ne fallait pas « lutter contre la douleur », comme on le fait par exemple en hypnose, mais que la douleur était une injonction du corps à se libérer de ces mémoires, de ces « programmes ».
Après un certain temps, tout ce travail d’introspection, de respiration et de visualisation porta ses fruits, je ne me sentis plus saturé par les douleurs, et je pu reprendre les activités physiques diverses et vivre normalement.
Comment je peux vous aider ?
Moi, c’est surtout sur le troisième point que je peux intervenir.
L’idée est de vous enseigner cette possibilité à rentrer avec la conscience dans le monde « des mémoires du corps », dans toutes ces dimensions, pour aider à une libération.
Bien sûr, cela prends du temps, c’est assez progressif, et cela dépend beaucoup des personnes.
Donc je m’adapte à chaque fois, le but final étant une libération de toues ces mémoires « encombrantes » du corps.
Pour travailler avec moi, il faut avoir du temps pour s’exercer, une haute motivation et être assez ouvert aux méthodes de thérapies alternatives.
En tous les cas, je vous invite à lire mes autres articles, où vous pourriez récolter des informations utiles.
Sur Youtube aujourd’hui, on trouve beaucoup de vidéos destinés à vous aider à ouvrir le troisième œil en quelques minutes, par des méditations et visualisations diverses.
Tout d’abord, les personnes qui proposent ça ne sont en général pas de vrais clairvoyants (souvent d’ailleurs ils le disent). Sinon, ils ne proposeraient pas de méthodes express, car ils savent que ça ne fonctionne pas comme ça.
(Après, malgré tout, ces vidéos peuvent constituer une bonne introduction, ludique…)
Des vrais clairvoyants, c’est à dire des gens qui voient à loisir la dimension subtile des choses, j’ai dû dans ma vie en connaître 2 sûr. C’était à chaque fois des hommes d’âges mûrs, ayant pratiqué des méthodes de spiritualité diverses pendant des décennies.
Pour moi, c’est venu à 26 ans et sans vraiment prévenir, parce que :
_J’étais déjà hyper-sensitif, je percevais déjà de manière quasi innée et inconsciente le monde subtil.
_Je pratiquais beaucoup beaucoup de méthodes méditatives (depuis environ 7 ans), j’ai commencé par l’ashtanga yoga pour aller ensuite vers le zen.
_Je fréquentais des milieux de spiritualités alternatives avec des personnes assez puissantes et authentiques.
_Avec la fibromyalgie, j’avais mal partout, mon corps était « en feu ». En quelque sorte, ça a accéléré les processus d’ouverture de perceptions subtiles.
Il faut savoir que je n’ai pas désiré la clairvoyance, elle est venue parce que j’en avais besoin, j’avais besoin de comprendre pourquoi j’avais aussi mal, etc.
Mais malgré tout, il y a deux choses à noter intéressantes :
_Tout va beaucoup plus vite aujourd’hui, les processus de développement psychiques sont plus rapides. C’est une époque particulière.
_On peut développer une clairvoyance « partielle », c’est à dire destinée à comprendre, quand on a un problème, comme des douleurs par exemple, d’où cela vient-il.
C’est ce que j’essaie d’enseigner aux personnes que j’accompagne pour la fibro. Je pense que c’est une condition indispensable.
Mais ce n’est pas facile.
Ce n’est pas comme dans un film américain, un Marvel ou autre, où le personnage ingère une substance par accident, et où dans la soirée il développe des super-pouvoirs.
Tout ça, c’est pour nous tenir dans l’illusion, et nous empêcher de travailler.
Le développement des facultés de l’esprit, des daranis, par définition, c’est long. En général, on progresse par paliers de 5 ans.
De plus, il faut avoir des bases morales fortes : c’est-à-dire désirer profondément aider l’humanité, aider le monde à aller vers plus d’harmonie et moins de folie, et surtout désirer connaître la vérité en profondeur, au-delà des apparences les plus flatteuses et nacrées.
Ça, c’est peut-être le plus difficile, parce qu’on pourra de moins en moins se mentir à soi-même.
Selon l’ésotérisme chrétien, lorsque Lucifer est tombé du ciel, il aurait perdu son troisième Œil : quand on décroît moralement, on perd sa lucidité profonde.
Donc comment faire, comment développer cette claire-vision, ne serait-ce que que pour s’aider à se libérer des douleurs ?
D’abord, et réapprenant à respirer.
La respiration conditionne notre façon de ressentir ou de penser. C’est très facile à vérifier : on s’exerce à respirer différemment pendant 10 minutes, immédiatement les pensées changent.
Il faut aller vers des respirations, en général, plus abdominales et plus lentes.
Cela va nous aider à passer dans cette état de conscience où l’on va voir l’aspect subtil des choses. Ça demande d’abord de casser l’intellect, l’esprit d’analyse (qu’on retrouvera plus tard, mais en mieux).
Un Maître zen assez connu, parfois, lorsqu’il avait des disciples un peu trop « intellos », leur faisait boire du whisky jusqu’à les mettre « par terre », pour leur faire éprouver cette état de conscience.
Ce passage peut être laborieux ou angoissant, mais une fois que c’est passé, c’est vraiment une renaissance, l’accès à une nouvelle dimension du monde.
Après la respiration, il y a l’entraînement à la vision elle même. On va essayer de visualiser, autour des choses perceptibles, des couleurs, des formes, des mouvements…
Pour ce qui ont de la peine à visualiser, on peut utiliser l’imagination : si ça avait une forme, cette douleur, laquelle ce serait ? Une couleur ? Etc.
En général, il faut garder ce qui vient tout de suite : « Tac ! ». Ensuite, très vite, l’esprit d’analyse reprend le dessus et nous empêche de voir.
L’intuition, en général, est beaucoup plus rapide que l’intellect, les perceptions sont quasi instantanées.
Mais très vite, on projette une interprétation ou on bloque.
Donc il faut savoir maintenir, stabiliser cette perception subtile dès qu’elle vient, sans passer de suite à l’interprétation. C’est très difficile. C’est comme saisir un objet très délicat, très fragile avec sont esprit.
Ensuite, une fois qu’on est à l’aise avec ça, on peut aller beaucoup plus en profondeur.
Comme en plongée, on réalise que sous la surface, il y a des espaces immenses, des montagnes, des failles de dizaines de kilomètres…
On rentre dans le karmique, dans tous ces conditionnements qui ont précédé notre naissance, et qui régissent nos comportement inconscient.
La clé, c’est d’être à la fois patient et constant. Patient parce que si on est trop pressé, l’esprit se bloque, et si on est pas assez constant, on perd le fil, et c’est le brouillard.
Ensuite, le deuxième volet de tout ce travail, c’est la capacité à agir sur les formes-pensées, à diminuer leur lourdeur et leur toxicité, c’est le vrai magistère, le travail sur notre matière subtile. C’est lui qui va nous conduire à la diminution progressive, puis à la disparition des douleurs.
Je voulais partager ici quelques principes qui me semblent importants, et que j’ai compris un peu à mes dépends pendant mon parcours de fibro.
Beaucoup de gens souffrant de fibromyalgie arrêtent net toute activité physique. Je pense que c’est une grande erreur, et je vais expliquer pourquoi.
Je pense qu’il y a 3 choses impératives qu’il faut retenir :
1 Éviter la fonte musculaire
Si l’on arrête tout type d’activité physique, il se peut qu’il y ait cette conséquence. C’est pour ça aussi que je ne suis pas favorable à l’arrêt des protéines animales.
J’avais fait cette double erreur, et j’étais devenu vraiment assez maigre (56 kilo pour 1m85). En particulier des jambes. Et j’ai mis beaucoup, beaucoup de temps ensuite à reprendre de la masse.
Le fait de se décharner à l’excès entraîna pour moi, comme c’est logique, une augmentation de la douleur, le corps ayant d’autant plus de difficultés à se « porter lui-même », les chaînes musculaires affaiblies devant alors faire un surcroît d’effort pour cela.
Je recommande donc de maintenir une activité physique régulière, mais avec effort doux et modéré, pour de pas « choquer » les muscles.
Pas de charges excessives, pas trop d’explosivité.
Essayer de travailler avec une conscience du corps, du mouvement de chaque muscle, sans brutalité.
J’essayais, pour ma part, d’aller à la piscine 4 ou 5 fois par semaines, de 20 à 45 minutes. Je nageais doucement (crawl, dos crawlé, battements…), en décomposant bien les mouvements, et dans la foulée je m’étirais après.
La marche est aussi une bonne option, pour maintenir une certaines vigueur dans les jambes, lesquelles en premier lieux soutiennent la posture.
2 Bouger
Comme on le sait bien, d’un point de vue physique, la personne atteinte de fibromyalgie a dans son corps beaucoup de points-gâchettes (trigger points). Ce sont des genres de nœuds, de boules musculaires anormales qui irradient de la douleur.
Nous en avons tous, en réalité, mais la personne souffrant de fibromyalgie en a plus, et plus douloureux.
Les points-gâchettes (ou trigger points) sont des accumulations de toxines dans une zones raccourcie du muscle, comme si le mécanisme était grippé.
Une activité physique permet de faire circuler le sang plus intensément et donc de l’amener à drainer mieux les toxines.
D’un point de vue énergétique, le mouvement aide le Feu stagnant toxique à sortir, à se libérer.
C’est pour cela qu’après l’effort on peut avoir des montées de douleur, ce n’est pas grave, c’est le Feu qui sort, et probablement les toxines qui se libèrent.
3 S’étirer
Après l’effort, quand les muscles sont encore chauds, c’est vraiment le mieux.
Je m’étirais, à l’époque de la fibro, immédiatement après la nage, une dizaine de minutes.
D’abord, cela aide le corps, probablement, à drainer ses toxines.
De plus, cela lui donne l’injonction de « lâcher », de stopper ses comportements hyper défensifs. (Cela doit agir sur la psyché également).
D’un point de vue énergétique, s’étirer permet de faire sortir des choses, de charges lourdes, des mémoires stagnantes dans les muscles.
C’est pour ça qu’on s’étire beaucoup dans le yoga, ce n’est pas juste pour devenir plus élastique, ce n’est pas de la gymnastique, c’est pour purifier le corps et la conscience du corps.
Toutes ces choses ne sont, au final, que du bon sens, mais elles sont toujours bonnes à rappeler.
Je ne suis ni médecin ni diététicien, ma spécialité est l’énergétique, mais je voudrais faire part de quelques expériences et observations qui pourraient être utiles !
Il me paraît maintenant évident que les choix alimentaires ont une réelle incidence sur les douleurs. En effet, du temps où je souffrais de la fibromyalgie, lorsque je mangeais quelque chose de fortement inflammatoire, les sensations de brûlures et d’étaux s’intensifiaient. Toutes les personnes souffrant de fibromyalgie, pour peu qu’elles soient conscientes de leurs sensations, peuvent s’en rendre compte.
Donc, plusieurs points importants (il y a pas mal d’évidences, mais c’est toujours bon de les rappeler) :
La qualité des aliments
Il est clair pour moi que cela fait une différence.
Aujourd’hui je n’ai plus de douleurs fibromyalgiques (c’est plus du structurel : par exemple j’ai un peu mal genoux quand je marche longtemps, ménisques abîmés, etc.), mais j’ai toujours malgré tout un estomac assez fragile et réactif.
J’ai fait le test l’autre jour, j’ai mangé un morceau de camembert industriel, et j’ai senti mon estomac se contracter (un peu à gauche au niveau des côtes flottantes) d’un coup, vraiment immédiatement, « paf ! ». Et dans les minutes qui suivirent, une gêne légère se propager dans le corps.
Le lendemain, j’ai mangé un morceau de camembert artisanal (à la saveur d’abord beaucoup plus riche et à la consistance beaucoup plus ferme). J’ai senti assez vite une certaine pesanteur dans le corps, mais assez agréable, comme le sentiment d’avoir été « bien rempli », d’être mieux ancré, etc.
Je n’ai pas eu la même sensation de spasme immédiat à l’estomac.
On dit que le lait de vache n’est de toutes manières pas très facile à digérer, certes, mais là il y avait réellement une différence flagrante.
Évidemment, ce n’est pas la première fois que je remarque ce genre de choses. Pendant les années où je souffrais de fibromyalgie, j’ai pris conscience assez intuitivement de l’importance de la qualité des aliments.
Ce qui était remarquable, dans le cas du camembert industriel, c’est que l’estomac se fermait avant même que l’aliment parvienne à lui, alors qu’il rentrait à peine dans œsophage.
Une intelligence du corps
C’est comme s’il y avait une intelligence du corps, qu’il nous disait alors : « non, ton truc là, je n’en veux pas ! ». Et que pour nous punir il nous envoyait un bon spasme bien douloureux, comme un coup de poing dans le ventre.
C’est l’intelligence du corps, elle est direct et brutale !
C’est pour ça que je préconise, dans la plupart des choix qu’on fait, même relationnels ou existentiels, de se fier assez aux sensations physiques, je pense qu’elles sont toujours un bon référent, qu’elles nous ramènent aux réalités.
Il est évident qu’entre un aliment industriel et artisanal, il n’y a pas la même richesse de vitamines, d’oligo-éléments. (On peut écouter Claude Bourguignon à ce sujet: https://www.youtube.com/watch?v=ljQPsaiw_zw). Et c’est comme si le corps, d’après mes sensations, le reconnaissait.
Sans compter toutes les toxines qu’un aliment industriel, du fait de tous les produits qu’il a absorbé, contient.
Donc, entre le camembert industriel et le camembert artisanal, pour la même énergie digestive dépensée, logiquement, le corps d’en tirera pas les mêmes bénéfices (et même en tirera des maléfices, pour le premier cas donc, du fais des toxines chimiques).
Et il nous le fera savoir !
Le gluten
Le gluten agglutine. C’est un genre de pâte à fixe alimentaire.
D’un point de vue énergétique, il maintient le Feu à l’intérieur.
Comme je l’explique souvent, dans la fibromyalgie, le Feu interne (je parle bien d’Énergie) ne peut pas sortir et circuler librement.
Ce Feu interne que nous générons tous (en MCT il est dit qu’il se subdivise dans les différents organes : Feu du foie, Feu de l’estomac, Feu du cœur…), nous est nécessaire, mais pour une raison ou une autre, il se peut qu’il y en ait trop, qu’il soit en surcharge. Comme un moteur en surchauffe.
Il cherche ainsi « la sortie ». Mais ne pouvant « sortir » correctement, il « pousse », et ainsi génère de la douleur.
Or le gluten le maintient, l’empêche de sortir.
Voilà pourquoi les diètes sans gluten sont intéressantes à mon sens, cela l’aide à sortir.
Du temps où je souffrais de fibromyalgie, j’ai dû en faire 3 ou 4 de 3 mois (je ne pouvais pas plus, j’aime trop le pain.)
Aujourd’hui, je fais mon propre pain avec une farine artisanale.
J’évite absolument la farine blanche industrielle, car, comme pour le camembert industriel dont j’ai parlé plus haut, j’en sens les effets dans l’estomac tout de suite !
Les compléments alimentaires
J’ai suivi également pas mal de programme de compléments alimentaires.
Un des plus efficaces (et éprouvant) fut un programme ayurvédique, aux produits venus d’Inde, des mélanges parfois de 30 ou 40 plantes différents.
J’imagine qu’il y a également des plantes européennes qui peuvent faire la faire.
La sauge, par exemple marche assez bien pour les spasmes digestifs. La fleur de souci pour les sensations de brûlure. La camomille pour les crispations musculaires. Même s’il faut une prise régulière sur un temps assez long.
La curcumine semble assez efficace également, car elle « expulse le Feu ».
Il y a beaucoup de possibilités de combinaisons sans doute, et chaque thérapeute diététicien à son style.
A mon sens ces trois éléments sont importants :
_Favoriser l’expulsion de l’excès Feu, et éviter tout ce qui peut le maintenir à l’intérieur (les alcools forts sont donc à éviter également; la bière, alcool froid en MCT, par contre, semble plus facile à assimiler).
_Détoxifier au maximum, pour limiter les comportements inflammatoires.
_Bien nourrir le corps, tâcher de lui fournir tous les éléments dont il a besoin, pour améliorer le ratio énergie digestive dépensée-énergie récoltée.
Sans oublier, naturellement de se faire plaisir ! La fibromyalgie étant une expérience pour le moins éprouvante, il convient assez souvent de rééquilibrer la balance !
Cet article fait écho à celui que j’avais écrit il y a un certain temps, où je racontais mon parcours du combattant pour sortir de la fibro : https://lc-magnetiseur.fr/fibromyalgie-mon-temoignage
J’ai mis 3 ans à me résoudre à entrer dans la dimension énergétique du corps, à comprendre que les méthodes classiques, pour moi en tous cas, ne suffisaient pas.
On voit bien, avec la fibro, que la cause des douleurs n’est pas complètement physique. La plupart des examens effectués habituellement (j’en avais fait pas mal : examens neurologiques, digestifs, métaboliques…), ne révèlent en général pas de problèmes flagrants.
Un acupuncteur assez renommé à Paris m’avait dit que les douleurs dont je souffrais n’étaient que la dimension « mécanique » du problème. A l’époque, je n’avais pas bien compris ce qu’il voulait dire.
Une dimension non physique
En fait, pour moi, la cause profonde, ou les causes, ne sont pas dans le monde physique. Mais dans le monde métaphysique, dans ce qu’on appelle « les corps subtils ». C’est de l’autre côte de la feuille, de l’autre côté du miroir.
Certains ont fait des classifications de ces corps, les séparant en 7 ou 8 (corps astral, corps mental…). Mais moi qui suis clairvoyant très avancé depuis plusieurs années (tan pis pour la modestie), j’observe que c’est beaucoup plus complexe que ça et qu’il y en a une infinité.
Dans le monde des énergies, il y a des formes et des masses, mais l’espace s’envisage différemment. Ce n’est pas un espace euclidien où les dimensions et proportions sont clairement définies. Tout bouge, tout est vivant, et les choses s’imbriquent les unes dans les autres à l’infini.
Des verrous
Bref, dans ce monde, dans cette dimension du corps, il peut également y avoir des problèmes, des blocages, des conflits.
Et pour moi, c’est cela qui va finir par créer des douleurs physiques. Bien que le confit ne soit pas physique à la base, il devient physique. Ces deux dimensions de notre être, physique et métaphysique, communiquent entre elles.
Ces blocages, ces verrous, peuvent être d’origines émotionnelles, familiales, karmiques…
La clé
La clé, c’est de réussir à faire passer la personne dans cette dimension du corps, de manière consciente, pour qu’elle puisse voir elle-même la cause cachée de ces verrous, et agir dessus.
Après, cela peut aller assez vite. Mais c’est un apprentissage !
Évidemment, les soins énergétiques peuvent aider, mais souvent, comme pour la plupart des problèmes chroniques, beaucoup incombe à la personne elle-même.
Cela n’empêche pas, bien sûr, qu’il y ait une prise en charge médicale classique. Il faut agir à tous les niveaux.
Mais je pense que l’avenir de la science (c’est une opinion) est de s’intéresser à la dimension non physique du corps.
En tous cas, pour moi, la maladie m’a contraint à faire ce voyage merveilleux « à l’intérieur de mon être », dans cette dimension, ce qui fut au final extrêmement libérateur.
Beaucoup connaissent ce passage des Évangiles, dans lequel Pilate demande à Jésus, qui lui a été livré, à l’issue d’autres paroles échangées : ‹ Qu’est-ce que la Vérité ? ». L’Évangile de Jean ne dit pas si Jésus a répondu ou non. Dans la plupart des version filmées, Jésus regarde Pilate sans rien dire.
A quoi pensait Jésus à ce moment-là ? On peut interpréter ce passage d’une infinité de manières.
Pour moi, ce qu’il voulait communiquer à ce moment, c’est que la Vérité tel qu’il l’entendait, ce n’est pas un concept, mais une sensation, une flamme. Quelque chose de total et de prenant, indéfinissable, qui nous envahit, nous saisit. Cette flamme invisible qui habite tous les êtres et leur donne leur conscience particulière.
Il venait d’être gravement molesté par les légionnaires et n’avait peut-être pas le temps ni l’envie de philosopher, il voulait exprimer les choses le plus directement possible. Peut-être son silence était-il le meilleur moyen de représenter ce qu’il pensait alors.
Il y a les vérités objectives et factuelles, mais cette Vérité avec un grand V est à la fois l’objectif et le subjectif.
C’est Ce qui crée la conscience, avant même les pensées.
Quand Dieu se manifeste dans la Bible, c’est souvent sous forme de flamme. Jésus, avant d’ascensionner, dit à ses disciples : « Ne me touchez pas. ». On peut penser qu’il est alors une forme, une expression de ce Feu.
C’est d’ailleurs le premier élément du zodiaque. C’est l’élément divin par excellence.
Les Trois Feux
Qu’est que le Feu du Cœur, alors ? C’est l’expression de ce Feu-énergie, de cette Vérité, dans le chakra Cœur.
Dans la théorie énergétique, il y a trois feux principaux :
_Le magma, le Feu « des tripes », qui vient du Chakra racine, et gère l’ancrage, les pulsions diverses, et en se subdivisant dans les organes abdominaux donne les différents Feux digestifs.
_Le Feu du Cœur, donc.
_Le Feu de la tête, ou Feu spirituel qui donne la vivacité à la Pensée, qui de part son énergie permet de créer des images et des pensées…
Tous trois, bien sûr, s’alimentent les uns les autres et sont issus du même Feu divin et primordial.
Mais pourquoi je souhaite porter l’attention ici sur le Feu du Cœur ? Parce que je pense que c’est le meilleur indicateur, pour savoir si l’on est bien dans Sa Vérité, dans son juste Chemin de vie. C’est la partie complètement subjective (mais importante) de cette Vérité dont parle Jésus.
Un Chakra capricieux
Le Feu du Cœur, l’énergie principale du Chakra en question, est par définition quelque chose de très insaisissable. Il est assez facile d’activer les Chakras inférieurs par la pratique et l’exercice, mais il est très difficile d’activer le Chakra Cœur (et donc son Feu) par la seule Volonté.
Il est quasi autonome, il a sa Vie propre. C’est pourquoi je m’étonne un peu de ces pratiques visant à l’ouvrir ou l’activer, et même à l’utiliser (par exemple comme énergie de guérison), par l’exercice ou l’auto-suggestion.
Il est comme un chat, il n’en fait qu’à sa tête.
En fait, il ne s’active que lorsque ce qu’on est en train de vivre, de voir, de dire, de faire… est conforme à notre nature profonde, à notre âme. Il est meilleur expression vivante de la vie et de l’approbation de l’âme.
C’est pour ça que c’est la Chakra de l’amour, on ne peut pas le forcer.
Sa couleur est plutôt rouge-ambroisie, je dirais, comme de la confiture de cynorhodon, avec des chatoiements de toutes les couleurs.
Un Maître Zen contemporain dit que lorsque le Chakra Cœur s’ouvre, cela a une saveur de mate (l’herbe) chaud.
Le meilleur indicateur
On sait tout de suite lorsque ça arrive, c’est d’une évidence absolue.
Beaucoup de gens vivent, malheureusement, avec ce Chakra ne s’activant presque jamais. Pour moi, c’est un peu « les mort » (« Laisse les morts enterrer leurs morts » Lc, 9, 60) dont parle Jésus. Ils peuvent être très intelligents, cultivés… Mais ayant perdu la sensation de son ouverture, ils ne la recherchent même plus. Ils remplacent cela par le plaisir ou l’addiction.
C’est donc le meilleur indicateur pour savoir si ce à quoi on est, à tel au tel moment, nous correspond ou pas. Il faut y être attentif, être conscient de ses petites flammes premières, pour établir ses choix.
C’est un peu, peut-être, ce que Jésus essaie de nous dire sur cette fameuse représentation qu’on voit souvent dans les Églises : « Écoute cette énergie, cette pulsation, car au-delà de tout ce que tu peux voir ou entendre, elle sait mieux que tout ce qui est bon pou toi. »
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