Comment je me suis sorti de la fibro (résumé technique)

Comment je me suis sorti de la fibro (résumé technique)

La fibromyalgie concerne beaucoup de personnes aujourd’hui, donc j’écris cet article en guise de synthèse de tout ce que j’ai déjà écrit, pour que cela puisse être lu rapidement par les intéressés.

Ensuite j’expliquerai en quoi je peux aider à travers l’accompagnement que je propose.

I Le physique (ça compte aussi…)

Il a fallu que je mette en place toute une série de dispositions pour permettre au corps de se relâcher musculairement.

J’ai pu trouver un kiné qui pratiquait ce qu’on appelle la Point Trigger thérapie, que j’allais voir environ 2 fois par mois.

Chez la personne atteinte de fibromyalgie, beaucoup de « Point triggers » se forment, ou « points gâchettes », c’est-à-dire des sortes de boules de toxines le long des chaînes musculaires. Il a fallu travailler régulièrement dessus, pour donner au corps l’injonction de se relâcher. Bien que ces « points » se reformassent environ deux semaines après chaque séance.

Ensuite, j’allais à la piscine environs 3 à 5 fois par semaine (minimum 20 minutes si fatigué), avec toujours 10 minutes d’étirements intégraux ensuite.

Ce qui permettait au corps également de se relâcher régulièrement (par tension-relâchement), de maintenir un certain drainage des toxines par le mouvement, ainsi qu’un minimum de masse musculaire.

II La diététique

 Je faisais régulièrement des diètes de 3 mois (il m’était difficile de tenir plus longtemps), où j’éliminais les aliments les plus inflammatoires : gluten, lait de vache, alcool, viande rouge…

Je complétai avec divers compléments alimentaires, pour :

1 _ Faciliter la digestion et limiter les reflux (ex : infusions de sauge, aloe vera, bien sûr beaucoup e légumes verts…)

2_ Aider le corps à se désenflammer ( ex : curcumine, infusion de fleurs de soucis… )

3_ Aider le corps à se détoxifier (cure de détox du foie, des reins… Également pendant un certain temps des boules de plantes sèches mélangées venant directement d’Inde _je ne me rappelle plus de la marque_, dont l’effet fut très puissant…)

Je fus accompagné par différents praticiens, à chaque fois de disciplines différentes : naturopathie, Médecine Traditionnelle Chinoise, Médecine Ayurvéda…

De plus, je me massais régulièrement le ventre, par sessions de 10-20 minutes, pour faciliter le transit et limiter les spasmes digestifs au maximum (qui ont une réelle incidence ensuite sur les douleurs périphériques).

III L’énergétique

 C’est par là que les changements les plus importants s’opérèrent.

Au gré d’une pratique méditative assez intense et maintenue, je pus comprendre que le gros des douleurs était dû à des mémoires émotionnelles comme « incrustées » dans le corps.

J’arrivai, par ces pratiques, à diminuer assez leur aspect lourd, conflictuel et négatif, ce qui créait à chaque fois un soulagement physique quasi immédiat.

On parle beaucoup de mémoire cellulaire aujourd’hui, je pense que cela fait référence à ça.

Je compris qu’il ne fallait pas lutter contre la douleur, comme on peut chercher à le faire au début, mais que la douleur était une injonction du corps à se libérer de ces mémoires, de ces « programmes ».

Après un certain temps, tout ce travail d’introspection, de respiration et de visualisation porta ses fruits, je ne me senti plus saturé par les douleurs, et je pus reprendre les activités physiques diverses et vivre normalement.

Comment je peux vous aider ?

 Moi, c’est surtout sur le troisième point que je peux intervenir.

L’idée est de vous enseigner cette possibilité de rentrer avec la conscience dans ce monde des mémoires du corps, dans toutes ses dimensions, pour aider à une libération.

Bien sûr, cela prend du temps, c’est assez progressif, et ça dépend beaucoup des pré-dispositions de chacun.

Je m’adapte à chaque fois, le but final étant une libération d’une bonne partie de ces mémoires encombrantes.

Pour travailler avec moi, il faut avoir du temps pour s’exercer, une haute motivation et être assez ouvert aux méthodes de thérapies alternatives.

En tous les cas, je vous invite à lire mes autres articles, où vous pourrez récolter des informations utiles.

Et à prendre rendez-vous avec moi pour discuter et voir si nous pouvons travailler ensemble !

Fibromyalgie et diététique

Fibromyalgie et diététique

Je ne suis ni médecin ni diététicien, ma spécialité est l’énergétique, mais je voudrais faire part de quelques expériences et observations qui pourraient être utiles !

Il me paraît maintenant évident que les choix alimentaires ont une réelle incidence sur les douleurs. En effet, du temps où je souffrais de la fibromyalgie, lorsque je mangeais quelque chose de fortement inflammatoire, les sensations de brûlures et d’étaux s’intensifiaient. Toutes les personnes souffrant de fibromyalgie, pour peu qu’elles soient conscientes de leurs sensations, peuvent s’en rendre compte.

Donc, plusieurs points importants (il y a pas mal d’évidences, mais c’est toujours bon de les rappeler) :

La qualité des aliments

Il est clair pour moi que cela fait une différence.

Aujourd’hui je n’ai plus de douleurs fibromyalgiques (c’est plus du structurel : par exemple j’ai un peu mal genoux quand je marche longtemps, ménisques abîmés, etc.), mais j’ai toujours malgré tout un estomac assez fragile et réactif.

J’ai fait le test l’autre jour, j’ai mangé un morceau de camembert industriel, et j’ai senti mon estomac se contracter (un peu à gauche au niveau des côtes flottantes) d’un coup, vraiment immédiatement, « paf ! ». Et dans les minutes qui suivirent, une gêne légère se propager dans le corps.

Le lendemain, j’ai mangé un morceau de camembert artisanal (à la saveur d’abord beaucoup plus riche et à la consistance beaucoup plus ferme). J’ai senti assez vite une certaine pesanteur dans le corps, mais assez agréable, comme le sentiment d’avoir été « bien rempli », d’être mieux ancré, etc.

Je n’ai pas eu la même sensation de spasme immédiat à l’estomac.

On dit que le lait de vache n’est de toutes manières pas très facile à digérer, certes, mais là il y avait réellement une différence flagrante.

Évidemment, ce n’est pas la première fois que je remarque ce genre de choses. Pendant les années où je souffrais de fibromyalgie, j’ai pris conscience assez intuitivement de l’importance de la qualité des aliments.

Ce qui était remarquable, dans le cas du camembert industriel, c’est que l’estomac se fermait avant même que l’aliment parvienne à lui, alors qu’il rentrait à peine dans œsophage.

Une intelligence du corps

C’est comme s’il y avait une intelligence du corps, qu’il nous disait alors : « non, ton truc là, je n’en veux pas ! ». Et que pour nous punir il nous envoyait un bon spasme bien douloureux, comme un coup de poing dans le ventre.

C’est l’intelligence du corps, elle est direct et brutale !

C’est pour ça que je préconise, dans la plupart des choix qu’on fait, même relationnels ou existentiels, de se fier assez aux sensations physiques, je pense qu’elles sont toujours un bon référent, qu’elles nous ramènent aux réalités.

Il est évident qu’entre un aliment industriel et artisanal, il n’y a pas la même richesse de vitamines, d’oligo-éléments. (On peut écouter Claude Bourguignon à ce sujet: https://www.youtube.com/watch?v=ljQPsaiw_zw). Et c’est comme si le corps, d’après mes sensations, le reconnaissait.

Sans compter toutes les toxines qu’un aliment industriel, du fait de tous les produits qu’il a absorbé, contient.

Donc, entre le camembert industriel et le camembert artisanal, pour la même énergie digestive dépensée, logiquement, le corps d’en tirera pas les mêmes bénéfices (et même en tirera des maléfices, pour le premier cas donc, du fais des toxines chimiques).

Et il nous le fera savoir !

Le gluten

Le gluten agglutine. C’est un genre de pâte à fixe alimentaire.

D’un point de vue énergétique, il maintient le Feu à l’intérieur.

Comme je l’explique souvent, dans la fibromyalgie, le Feu interne (je parle bien d’Énergie) ne peut pas sortir et circuler librement.

Ce Feu interne que nous générons tous (en MCT il est dit qu’il se subdivise dans les différents organes : Feu du foie, Feu de l’estomac, Feu du cœur…), nous est nécessaire, mais pour une raison ou une autre, il se peut qu’il y en ait trop, qu’il soit en surcharge. Comme un moteur en surchauffe.

Il cherche ainsi « la sortie ». Mais ne pouvant « sortir » correctement, il « pousse », et ainsi génère de la douleur.

Or le gluten le maintient, l’empêche de sortir.

Voilà pourquoi les diètes sans gluten sont intéressantes à mon sens, cela l’aide à sortir.

Du temps où je souffrais de fibromyalgie, j’ai dû en faire 3 ou 4 de 3 mois (je ne pouvais pas plus, j’aime trop le pain.)

Aujourd’hui, je fais mon propre pain avec une farine artisanale.

J’évite absolument la farine blanche industrielle, car, comme pour le camembert industriel dont j’ai parlé plus haut, j’en sens les effets dans l’estomac tout de suite !

Les compléments alimentaires

J’ai suivi également pas mal de programme de compléments alimentaires.

Un des plus efficaces (et éprouvant) fut un programme ayurvédique, aux produits venus d’Inde, des mélanges parfois de 30 ou 40 plantes différents.

J’imagine qu’il y a également des plantes européennes qui peuvent faire la faire.

La sauge, par exemple marche assez bien pour les spasmes digestifs. La fleur de souci pour les sensations de brûlure. La camomille pour les crispations musculaires. Même s’il faut une prise régulière sur un temps assez long.

La curcumine semble assez efficace également, car elle « expulse le Feu ».

Il y a beaucoup de possibilités de combinaisons sans doute, et chaque thérapeute diététicien à son style.

A mon sens ces trois éléments sont importants :

_Favoriser l’expulsion de l’excès Feu, et éviter tout ce qui peut le maintenir à l’intérieur (les alcools forts sont donc à éviter également; la bière, alcool froid en MCT, par contre, semble plus facile à assimiler).

_Détoxifier au maximum, pour limiter les comportements inflammatoires.

_Bien nourrir le corps, tâcher de lui fournir tous les éléments dont il a besoin, pour améliorer le ratio énergie digestive dépensée-énergie récoltée.

Sans oublier, naturellement de se faire plaisir ! La fibromyalgie étant une expérience pour le moins éprouvante, il convient assez souvent de rééquilibrer la balance !

Fibromyalgie et exercices

Fibromyalgie et exercices

J’évoque ici les types d’exercices que je propose dans l’accompagnement spécial que j’ai créé.

Je les ai donc partagé en 3 types. Ensuite, dans le détail, ils peuvent varier selon la personne et sa progression.

Les exercices de respiration

Principalement respiration abdominale. C’est vraiment fondamental.

À mon sens, la respiration, ce n’est pas juste « avaler de l’air », mais c’est la circulation de l’Énergie. Selon comment on respire, large ou court, profond ou superficiel, l’énergie, le Qi, ou prana, circule différemment dans notre corps. C’est le gouvernail de l’Énergie.

Toutes les méthodes orientales, yoga, Taï-chi, Qi-Gong, Zazen… se basent sur la respiration. Car il n’est pas possible d’approfondir ensuite ces pratiques, « de pénétrer le cœur », sans maîtrise de la respiration.

Par exemple, quand on a cette maîtrise, on peut conduire ce Qi, cette Énergie, vers une zone du corps qu’on sent particulièrement lourde, et dissoudre, déblayer cette lourdeur. Un peu comme dans le mythe des Écuries d’Augias. Ou comme l’eau sous terre qui creuse les grottes…

Un exercice comme la cohérence cardiaque, où l’on regarde une boule suivre une courbe montante et descendante, est intéressant pour commencer mais me semble assez incomplet : en effet, il convient, au départ, dans la plupart des cas, surtout, de débloquer la sangle abdominale, qui souvent ne bouge pas assez, n’est pas assez libre.

Le fait de juste regarder une boule, sans conscience corporelle, du reste, peut un peu nous décentrer.

Car, en réalité, on le découvre assez vite quand fait un vrai travail en soi-même, 80% de notre monde émotionnel est dans la sangle abdominale. Dans les mémoires viscérales.

Quand on a mal à l’épaule, par exemple, ou dans une autre zone périphérique, il y a souvent un autre blocage associé, plus profond, dans la zone abdominale.

Donc, des exercices de déverrouillages de cette sangle peuvent déjà apporter un mieux-être.

De plus, les organes vitaux, ayant physiquement plus d’espaces, sont mieux irrigués, donc logiquement, on peut penser, en meilleure santé.

Une fois la sangle abdominale relativement déverrouillée, on peut passer à d’autres exercices de respiration, plus subtils, aux finalités plus spécifiques.

Les exercices de visualisation

C’est là vraiment que le déclic se fait, que la personne commence à devenir son propre thérapeute.

Il s’agit de visualiser les formes et les masses énergétiques. Comme les objets du monde physique, elles ont leurs contours, leurs couleurs, leur densité, leur mouvement… A ceci près justement qu’elles sont beaucoup plus mouvantes, indéfinies que dans le monde physique. Mais tout de même, en un sens, elles existent, elles ont une vraies incidence sur notre ressenti physique.

L’important, pour nous, est de visualiser principalement les masses lourdes, rétractées, conflictuelles, qui font que l’énergie vitale ne circule pas naturellement. Car dans ce monde des énergies, non visible, tout n’est pas « pure lumière ». Il y a aussi de la négativité. Et c’est justement là qu’il faut aller, avec sa conscience, dans monde des masses lourdes, pour les alléger, les dissoudre.

C’est vraiment ça, l’Alchimie intérieure. Ce n’est pas juste une métaphore.

Tout cela s’apprend et se pratique, peu à peu. Il ne vaut mieux pas être trop pressé.

Les exercices d’introspection

Dans la continuité du précédent, on rentre dans le monde des mémoires anciennes, du karmique.

On va rentrer dans les mémoires corporelles d’époques passées, parfois lointaine, de l’enfance, l’adolescence…

Parfois même, semble-t-il, dans des mémoires qui n’appartienne pas à notre vécu, mais qui sont bien en nous. C’est là que les notions bouddhistes de vies passées, également de karma transgénérationnel, ont du sens.

J’étais un peu sceptique à ce sujet au départ. Mais pendant un été, par exemple, j’ai travaillé sur des mémoires corporelles au niveau de mon poitrail. Incessamment, revenaient des images de noyade, et des sensations et émotions très fortes. Peu à peu, à force de faire entrer la lumière (de la conscience), de donner de l’espace, j’ai senti de la lourdeur, comme un miasme, se dissiper, et comme une force entrer dans cette zone de mon corps, une vigueur nouvelle.

J’avais la sensation de respirer mieux ensuite.

Avec ces exercices, on peut aller également dans d’autres zones de la conscience profonde, mais toujours avec ce but d’alléger, de libérer, de créer de l’espace et de la lumière.

Mais il est tout de même nécessaire d’avoir une bonne respiration pour cela, car c’est elle, comme le Dragon bienveillant de certains contes (on pense au film l’Histoire sans Fin, par exemple), qui va guider notre conscience à travers ces mondes.

Quand on commence à un peu maîtriser ces trois types d’exercices, ces trois « fonctionnalités », en quelque sorte, on devient son propre thérapeute, on est relativement autonome et les choses commence vraiment à évoluer.

Fibromyalgie et énergétique

Fibromyalgie et énergétique

Cet article fait écho à celui que j’avais écrit il y a un certain temps, où je racontais mon parcours du combattant pour sortir de la fibromyalgie : https://lc-magnetiseur.fr/fibromyalgie-mon-temoignage, qui m’a conduit ensuite à devenir magnétiseur-énergéticien.

J’ai mis 3 ans à accepter d’entrer dans cette dimension

J’ai mis 3 ans à me résoudre à entrer dans la dimension énergétique du corps, à comprendre que les méthodes classiques, pour moi en tous cas, ne suffisaient pas.

On voit bien, avec la fibromyalgie, que la cause des douleurs n’est pas complètement physique. La plupart des examens effectués habituellement (j’en avais fait pas mal : examens neurologiques, digestifs, métaboliques…), ne révèlent en général pas de problèmes flagrants.

Un acupuncteur assez renommé à Paris m’avait dit que les douleurs dont je souffrais n’étaient que la dimension  « mécanique » du problème. A l’époque, je n’avais pas bien compris ce qu’il voulait dire.

Une dimension non physique

En fait, pour moi, la cause profonde de la fibromyalgie, ou les causes, ne sont pas dans le monde physique. Mais dans le monde métaphysique, dans ce qu’on appelle « les corps subtils ». C’est de l’autre côte de la feuille, de l’autre côté du miroir.

Certains ont fait des classifications de ces corps, les séparant en 7 ou 8 (corps astral, corps mental…). Mais moi qui suis clairvoyant très avancé depuis plusieurs années (tan pis pour la modestie), j’observe que c’est beaucoup plus complexe que ça et qu’il y en a une infinité.

Dans le monde des énergies, il y a des formes et des masses, mais l’espace s’envisage différemment. Ce n’est pas un espace euclidien où les dimensions et proportions sont clairement définies. Tout bouge, tout est vivant, et les choses s’imbriquent les unes dans les autres à l’infini.

Des verrous

Bref, dans ce monde, dans cette dimension du corps, il peut également y avoir des problèmes, des blocages, des conflits.

Et pour moi, c’est cela qui va finir par créer des douleurs physiques. Bien que le confit ne soit pas physique à la base, il devient physique. Ces deux dimensions de notre être, physique et métaphysique, communiquent entre elles.

Ces blocages, ces verrous, peuvent être d’origines émotionnelles, familiales, karmiques…

La clé

La clé, c’est de réussir à faire passer la personne dans cette dimension du corps, de manière consciente, pour qu’elle puisse voir elle-même la cause cachée de ces verrous, et agir dessus.

Après, cela peut aller assez vite. Mais c’est un apprentissage !

Évidemment, les soins énergétiques peuvent aider, mais souvent, comme pour la plupart des problèmes chroniques, beaucoup incombe à la personne elle-même.

Cela n’empêche pas, bien sûr, qu’il y ait une prise en charge médicale classique. Il faut agir à tous les niveaux.

Mais je pense que l’avenir de la science (c’est une opinion) est de s’intéresser à la dimension non physique du corps.

En tous cas, pour moi, la maladie m’a contraint à faire ce voyage merveilleux « à l’intérieur de mon être », dans cette dimension, ce qui fut au final extrêmement libérateur.

L’essentiel à savoir pour sen sortir de la fibromyalgie dans cette vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=7q3HyMXc_ms

Rendez-vous conseils gratuit de 30 minutes ! : https://calendly.com/lcost234/entretien-conseils-gratuit-sortir-de-la-fibromyalgie

Accompagnement personnalisé, présentiel ET distanciel, dédié spécialement aux personnes souffrant de fibromyalgie : https://lc-magnetiseur.fr/accompagnement-fibromyalgie

Livre disponible sur Amazon, en E-book et format broché, racontant comment j’ai pu, sur un parcours de 9 ans, me sortir de la fibromyalgie : https://www.amazon.fr/Fibromyalgie-Comment-jen-suis-sorti-ebook/dp/B0F24WQSZG

Sur TheBookEdition : https://www.thebookedition.com/fr/fibromyalgie-comment-j-en-suis-sorti-p-415086.html

Fibromyalgie, mon témoignage et recommandations

Fibromyalgie, mon témoignage et recommandations

Cet article date de 2021. Je dois avouer que, depuis, ma vision (et ma façon de m’exprimer) a un peu évolué sur certains aspects. Mais, néanmoins, je le maintiens tel quel, car je considère toujours les recommandations que j’y donne comme valides.

Aïe…

Les premiers symptômes de fibromyalgie me sont apparus, en 2012, à l’âge de 23 ans, au printemps :  Raideurs au niveau du rachis cervical, avec carrément la nuque qui bougeait toute seule lors de certains spasmes, sciatiques parfois extrêmement fortes en particulier à droite, raideurs et douleurs lombaires, sensation de brûlures dans les articulations , fatigues, etc.

 J’étais pourtant en pleine forme à l’époque, je faisais beaucoup de sport (j’ai une prédisposition naturelle à l’athlétisme, je suis très très endurant à la base…).

 Je m’intéressais déjà pas mal à la spiritualité, à l’énergétique. Je faisais beaucoup de yoga (ashtanga) et du zazen notamment. Je n’ai donc pas vraiment compris ce qu’il m’arrivait, d’autant qu’il n’y avait aucune cause palpable dans mon vécu à tout cela.

Un kiné formidable 

En 2015 (après déjà de longues errances thérapeutiques) j’ai rencontré un kinésithérapeute formidable, Gilber Trontte, résidant à Lesigny (77), un des premiers à pratiquer la Point-trigger thérapie avec dry needling et la TMNO (thérapie manuelle neuro-orthopédique).

 J’ai compris grâce à lui que les douleurs, d’un point de vue mécanique, viennent de ce qu’on appelle des Points gâchettes (Trigger points donc), des nœuds musculaires, comme des sortes de noix, qui irradient dans les périphéries des fibres musculaires une douleur plus ou moins grande, selon leur niveau d’activation. En les faisant «lâcher», (via différentes techniques dont le dry needling), la douleur associée diminue ou disparaît.

 Mais problème : Ces points gâchettes réapparaissent assez vite, au bout d’une semaine même moins parfois.    Donc la cause est ailleurs :   en fait elle vient_en grande partie_ des organes.    

 C’est ce que mon kiné m’a fait comprendre en travaillant directement dessus, après quelques séances de travail direct sur les muscles.     En relâchant les spasmes digestifs, j’ai vu que le corps se détendait, complètement.     En fait le muscle n’est _ en gros_ que le continuum de l’organe, du point de vue de la douleur.

The third eye

 En 2016, alors que je pratiquais beaucoup de méditations (zazen), lors d’une session d’été, suite à un pic de douleur extrêmement fort, il s’est provoqué chez moi ce qu’on appelle «l’ouverture du Troisième Œil.  Je n’y croyais qu’à moitié auparavant, mais là j’ai carrément déchanté.    J’ai commencé à voir ce qu’on appelle les «corps subtils» (formes, couleurs vibrations), imbriqués à notre corps physiques, et plus particulièrement donc aux organes vitaux, dans leurs périphéries; chaque organe en gérant «un style» , un domaine émotionnel (couleur, élément densité…) ; ce qui confirme le postulat de la MTC.

 J’ai réalisé également que je pouvais agir dessus avec la pensée, et libérer dans ces «corps» les parties «lourdes», «toxiques», pour les remplacer par d’autres de meilleures qualités.   Immédiatement le corps réagit : les zones associées à ces blocages se libèrent, les muscles se détendent, les douleurs s’en vont…

 J’ai continuité ce travail jusqu’à maintenant, je le continue toujours.  J’ai réduis les symptômes d’environ 90% (il me reste encore du travail) .   J’ai commencé l’escalade, j’ai repris la muscu… J’ai encore un peu de fatigue de toutes ces épreuves mais j’ai encore plus envie de vivre qu’il y a dix ans.

Tout doit disparaître…

Pour résumer, l’énergétique est LE PLUS IMPORTANT.    Sans nul doute, c’est la base de tout.  La solution : Une et une seule, le DESTOCKAGE TOTAL.     Je m’explique.

 Comme j’essayais de l’expliquer plus haut, notre corps physique est chargé, traversé de formes, non visibles mais bien existantes, «fréquentielles», imbriquées les unes dans les autres, qui forment ce que les Alchimistes appellent le «vase de l’Art» (ou «aura»).     Ces formes sont plus ou moins vibrantes, mouvantes, et plus ou moins «lumineuses», c’est à dire de plus ou moins bonnes «qualités.  Elles épousent chacune un élément ou plusieurs : eau, feu, terre, métal…        Ce sont en réalité des mémoires : quand on rentre avec la conscience dans ces dites formes, on aperçoit des «scènes», des ambiances ou du «vécu».

 Or, la fibromyalgie n’est autre que L’EXPULSION VOULUE PAR LE SUBCONSCIENT DE TOUTES LES MEMOIRES ENERGETIQUES NEGATIVES DE LA PERSONNE, JUSQU’A LA FIN.    Lorsqu’on vous enlève un éclat d’obus de la jambe (bon ça ne m’est pas arrivé hein), vous avez mal. Et bien c’est la même chose.    L’expulsion de ces dites mémoires provoque la douleur.  Le travail est de faciliter cette expulsion et non de la bloquer.   

 Évidement tout cela doit s’accompagner d’un travail physique, psychologique, digestif…

Recommandations

Comme je l’ai déjà dit, je ne suis pas médecin, je propose simplement de partager une expérience avec des recommandations structurées. Il faut voir, il me semble, la fibromyalgie comme un chantier, un immense travail sur soi-même, un apprentissage…

 J’ai partagé ce travail en trois axes :

I Le physique 

L’important est surtout de ne pas arrêter l’effort, au contraire il faut que les muscles gardent du tonus et ne s’atrophient pas ou pas trop. Je sais que la douleur est une entrave mais il faut la traverser.

 L’idéal est l’effort «moyen» : pas ou peu de muscu, pas de footing harassant jusqu’à l’épuisement, mais des efforts plutôt doux et lents, si possible des sessions tous les jours, où le mouvement est ressenti pleinement.

 Il s’agit d’arrêter de faire des efforts avec une volonté primaire, un peu brutasse… Que chaque mouvement soit fait avec un ressenti complet de tout le corps.

 Par exemple si vous devez soulever un meuble, faites le très lentement, en fléchissant bien, en ressentant la puissance du sol, son énergie, puis intégrez en vous même le poids de l’objet, et doucement soulevez-le, comme en vous déployant millimètre par millimètre.

 C’est tout une rééducation en fait, aller vers un autre style d’effort, de mouvement, plus intérieur.

 La natation me semble idéale : des séances de 20 à 40 minutes d’abord, plusieurs fois par semaines, à vitesse lente à moyenne. Les battements sont très bons, avec planche, sur le dos et sur le ventre.    Et le plus important, après le séance, les étirements, en particulier des jambes, de bas en haut.  Cela détend également le dos.

 Ce sont ces tensions-relâchements qui justement provoquent une détente profonde, et qui associés à un bon repos, font souvent lâcher d’eux-mêmes les points gâchettes.

 

II  Le digestif

 Cela me semble être quelque chose d’extrêmement personnel, car chacun son métabolisme, mais l’important me semble-t-il est de réduire au maximum les aliments type «feu»: viande rouge, alcool, gluten, lait de vache…  

 Le gluten agglutine, il maintient le feu à l’intérieur du corps, or justement le fibromyalgique souffre d’une surcharge de feu dans le système musculo-tendineux : il a mal partout, il se consume, tout ses blocages sont exacerbés.

 En limitant ce genre d’aliment le feu se libère, il n’est plus retenu.

 III L’énergétique

 C’est sans doute le plus important, c’est là que réside la solution en fin de compte.

Le monde des énergies s’aborde à 99% par la pratique, inutile de passer sa vie, comme un juriste des romans de Balzac, sur des livres, de MTC ou d’ayurvéda. Comme je l’explique dans mon article sur les corps subtils, il est vivant et se réinvente constamment, en plus d’être multidimensionnel; il réclamerait presque une nouvelle langue.

 Le fibromyalgique doit devenir son propre thérapeute.

 Outre divers pratique de soutient comme le yoga, la sonothérapie, l’acupuncture (avec drainage du feu en surcharge), je recommande la méditation introspective :   tous les jours, au calme, s’asseoir le dos droit, de préférence sur un coussin ferme. Chaque fois qu’une douleur apparaît, «rentrer dedans» avec la conscience, comme à l’intérieur d’une grotte, et lui demander «ce qu’elle veut», de quoi elle est faite, ce qui la constitue.

 Plus vous le ferez, plus vous visualiserez quelque chose de précis : une couleur, une forme, un vécu…

 Et par la pensée, demander à ce nœud de se défaire, à cette charge de se dévider de son fluide négatif, et de partir.  Vous verrez qu’un nœud en révèle d’autres, comme sur un fil, c’est «un long travail de femme», comme on dit.

 Mes soins énergétiques sont puissant et ils peuvent accélérer le processus, mais il ne peuvent pas TOUT faire.

 Il se peut que ce nœud, en retour, vous délivre un message, une injonction… C’est qu’en fait l’information qu’il contient est utile à votre Cheminement, à votre vie…

 Souvent il ne termine de se défaire que lorsque vous avez acté dans votre vie le changement ou la prise de conscience qu’il renferme…

 Alors, normalement, la douleur s’en va, du moins en partie.

 C’est le début d’un long parcours vers un nouveau soi.       Alors au travail !