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« Mon âme est pareille à un volcan sans bouche qui dévore sa propre écume et se brûle à son propre feu. » Lamartine

J’appelle maladies inflammatoires celles qui engagent principalement l’élément feu, en médecine énergétique.

C’est à dire, pour ce qui est du musculo-tendineux : la plupart des douleurs des dos, la fibromyalgie, la polyarthrite rhumatoïde… Pour ce qui est du cutané : le psoriasis, l’eczéma, les éruptions boutonneuses… Du viscéral : la Maladie de Crohn, l’endométriose, les ulcères…

La couleur du symptôme, s’il y en une, est principalement rouge, et la douleur provoquée est plutôt de type « brûlure ». Évidemment une maladie en général engage plusieurs éléments, mais là donc c’est le principal.

Qu’est-ce à chaque fois ? C’est une surcharge de feu. C’est comme un incendie couvert si vous voulez, interne. Le feu décide de prendre principalement sur un organe en particulier, mais il peut très bien migrer, comme dans un incendie réel : il peut donc en toucher plusieurs, comme allant d’une pièce à l’autre. Plus il est profond, organique, plus il est nocif. Dans le musculaire ou le cutané, cela peut être gênant voire handicapant, mais c’est dans le viscéral que c’est de loin le plus problématique : Il endommage l’organe en question, le rétracte…. Ce qui en médecine mécaniste entraîne souvent des ablations. Le feu « sèche » la bile et crée les caillots. Il « sèche » aussi les articulations, le rachis cervico-lombaire, provoquant de l’arthrose, ou bien en avalant les disques, une fusion des vertèbres…

Il peut passer d’une zone à l’autre de manière assez étendue, comme à travers une cheminée d’immeuble. Il stagne, se concentre en général sur une zone ou un organe, mais en partie « cherche la sortie ». C’est la cause de la plupart des douleurs de dos, le feu emprisonné dans les viscères (car il y a toujours une dimension viscérale en fait, plus ou moins forte) se cherche une sortie vers l’extérieur et « tape » sur l’espace qu’il a choisi comme lieu de sortie.
Le feu (énergétique) en soi n’est pas mauvais, il est même nécessaire pour faire vivre vos organes, pour vous rendre vigoureux, enthousiaste, résistant aux maladies… Il est l’élément le plus puissant, la Vie même, qui fait le plus bouger les choses, mais aussi potentiellement le plus destructeur.

Le but du jeu est de faire sortir le feu, de le libérer. Il ne peut pas être éteint comme pour un incendie matériel car c’est votre Esprit, votre Soi profond qui le génère, pour une bonne raison.

Donc la clé à chaque fois, c’est d‘expulser cette surcharge. Si vous prenez des anti-inflammatoires, qu’ils soient chimiques ou naturels, cela apaisera le problème mais ne le réglera pas sur le long terme. Il faut mettre le feu dehors, s’en servir en quelque sorte, aller au bout du processus qui l’a généré.

C’est comme si vous allumiez le moteur de votre voiture, et souhaitiez accélérer en ayant gardé le frein à main enclenché. Elle ne va pas aimer.

Ce feu en surcharge (c’est ça qu’il est difficile de faire saisir) a été généré pour quelque chose, pour une bonne raison. Par vous-même, votre vous-même profond, divin, qui sait tout, qui pressent, qui pèse en permanence les dangers, les enjeux… Ce n’est pas une erreur de l’avoir généré, c’est une erreur de ne pas l’avoir utilisé, avec justesse et jusqu’au bout. C’est une énergie motrice. Si vous la retenez en vous, elle vous détruira.

Le premier enjeu d’abord est d’aller au cœur de ce feu, de le prendre à bras le corps, comme Hercules avec le Lion de Némée, et de comprendre ce qu’il veut, l’action, la dynamique qu’il contient. Il n’a pas été généré par hasard ou bévue, je le répète.

Il sait tout ce dont vous avez besoin, donc il veut vous aider à faire des choses, à générer des actions, mais vous ne voulez pas aller au bout, vous bloquez. C’est ça qui crée l’inflammation, la douleur. Quand vous aurez mis en place l’action juste, il partira, il jouera son rôle.

Je peux vous aider avec mon magnétisme, mais je ne peux pas enlever tout le feu, et s’il y a beaucoup de feu accumulé (comme pour les maladies chroniques de longues durées), cela peut prendre du temps. Mais si vous épuisez l’énergie qu’il contient, si vous « suivez le message », il partira, et les symptômes avec. Le problème, ce sont souvent les sur-mentaux qui cloisonnent, bloquent leurs corps subtils, en enferment ainsi le feu.

Le manque d’enthousiasme, la déprime, la routine sont aussi des problèmes car en créant des stagnations d’énergie (eaux stagnantes) cela recouvre le feu justement, le cache, rendant encore plus difficile sa libération.

Si l’on ne va pas au bout de l’action associée, si l’on s’arrête à mi-chemin, cela fera encore plus mal, car le feu, ayant commencé à sortir, sera exacerbé, les symptômes augmentés.

La médecine énergétique est subtile, ce sont des vérités difficiles à saisir, des défis permanents et des conquêtes à faire sur soi-même, cela ne s’adresse pas aux bourrins ou aux aliénés.

Ce que j’explique n’est pas évident, il peut falloir des années pour le comprendre. Mais ce sont des choses de l’Esprit. S’il on sort du culte du Nombril et qu’on donne sa vie à un principe supérieur ( je ne parle pas nécessairement d’entrer dans les ordres), à Dieu ou appelez-le comme vous voulez, on commence à comprendre l’ordre des choses, on vit à une autre échelle et on acquiert un regard d’aigle.

Nous sommes faits pour nous donner au Monde, comme une graine qui meurt pour faire un arbre, c’est ça la vraie guérison, pas autre chose. L’énergie qui a été mise en nous doit être rendue, solidifiée en œuvres. « La Foi n’est rien sans le Œuvres » disait Saint Paul.

Mais le plus difficile je pense reste de comprendre le message, d’aller au cœur du foyer, de la souffrance. C’est le langage de l’âme, pas du social, du juridique, de l’audiovisuel… Tout ce que vous gardez en vous vous sera repris, violemment s’il le faut. Alors n’ayez pas peur d’aller au bout de vos passions et aspirations.

Le plus difficile est de descendre, d’aller au cœur du feu, au foyer.

Après l’introspection, c’est en définitive l’action qui libère et puis c’est tout.