Le feminin sacré

Le feminin sacré

Le Féminin sacré est une force cosmique, omniprésente, pas seulement chez les femmes. Il traverse les montagnes, les rivières ; souvent les lieux de culte en sont remplis

 D’aspect translucide pour les clairvoyants, rayonnant, il est «l’eau spirituelle» _le masculin sacré étant le Feu solaire_, ce qui lave, enlève toute souffrance.

 Lorsqu’une femme s’éveille à cette force, cela se voit dans son aura, c’est comme un torrent qui la traverse de la fontanelle jusqu’au périnée, puis se répand partout : elle en devient une émanation de la Terre, une continuité de ses réseaux telluriques.  

Pour qu’il se libère, il faut défaire, libérer ce qui bloque, stagne, les forces d’inertie de l’égoïsme.

 Je pense que le destin de toute femme est de s’unir à lui, et de diffuser tous sens.

Une femme l’ayant ouvert en elle le «répand» de manière inconsciente, se présence devient salutaire, absolue.

Paradoxalement, les femmes l’exprimant totalement ont souvent une forte dimension masculine : Le masculin et féminin sacrés se complètent et cohabitent, l’un permet l’autre, tandis que sur des plans plus bas, les forces féminines et masculines auraient tendance à s’opposer.

L’homme évidemment peut et aussi le cultiver en lui-même.

Les règles douloureuses

Les règles douloureuses

Il est étonnant de voir à quel point les femmes bien souvent comprennent mal ce phénomène, et s’en protègent alors que c’est peut-être un des processus les plus puissants et précieux que la Nature leur ai donné.

 Je ne vais pas parler ici de la dimension biologique du phénomène (expulsion de la muqueuse utérine et des ovules), mais vraiment énergétique.

 Kesaco, donc ?

En fait les règles sont un phénomène d’expulsion par le feu énergétique des mémoires présentes  dans leur appareil génital.  

 Pour les clairvoyants, ce feu est couleur rouge (rouge-sale précisément, car il se charge de toxines).  C’est en fait le feu de la Kundalini qui, émanant et montant du chakra racine (lequel est relié à l’énergie  terrestre, le «magma» du corps_  comme on le sait nos corps subtils sont des microcosmes exprimant des macrocosmes), pousse à travers les ovaires, les trompes et le vagin pour expulser les charges énergétiques qui s’y trouvent.  

 C’est ce feu qui par les alchimistes traditionnels est appelé «feu secret des sages», «secret» car il a pour foyer les profondeurs du corps énergétique, et «des sages» car son éveil volontaire (le fameux «éveil de la Kundalini» que cherchent parfois les yogis), peut se révéler très périlleux.     

 C’est aussi ce feu, qui, simplement, «chauffe» le corps et y maintient la vie, et qui selon où il se glisse, comme un serpent (d’où son autre nom «Feu-serpent») a une fonction particulière.  Par exemple le feu digestif dans l’estomac, le feu de la passion dans le cœur, le feu dissolvant dans le foie (la «bile noire»).

 Fonction symbolique

Comme on le sait également, chaque organe n’a pas seulement sa fonction biologique, mais également sa fonction symbolique, émotionnelle, énergétique…  Or la fonction énergétique de l’appareil génital de la femme est je dirais d’intégrer le Réel, de l’incorporer pour le recréer avec sa sensibilité, d’offrir d’autres «possibilités».

 Voilà pourquoi les femmes sont si douées pour créer des ambiances, des contextes, des rencontres… Elles génèrent des environnements qu’elles ont d’abord conçu en elles-mêmes, des conditions du futur. Elles permettent souvent à l’homme de réaliser ce qu’il ne parvient pas à achever par excès de Yang, qui tolère mal les transformations lentes.

 Un grand nettoyage

Or donc il est impressionnant de voir ce qu’il peut se loger de vécu, d’expérience, de sensations, dans le bas-ventre de la femme. En fait chaque partie «creuse» du corps (les articulations en faisant partie), contient un grand potentiel de mémoires.  

Donc lorsque tout ce vécu pendant les règles se dévide, est poussé est brûlé par le feu jusqu’en dehors, comme un magma qui arrache tout.   C’est le même feu que celui qui génère le désir, ce qui explique pourquoi les femmes pendant les règles sont particulièrement ardentes.

 Pour les clairvoyants, donc, ces mémoires  se visualisent souvent comme des eaux troubles ou noires; en fait ce sont surtout leur aspect négatif, le positif de l’expérience étant complètement intégré à la femme elle-même.  Le négatif stagnant  à l’entrée un peu comme dans un sas.  Ces mémoires négatives peuvent venir d’expériences un peu malsaines de travail, de voyages, de rencontres, d’atmosphères éprouvées, de relations…

 Et un grand renouvellement

Or pour que la femme puisse «intégrer» de nouvelles expériences il faut «qu’un peu de ménage se fasse», le feu sacré jouant le rôle de décapant.  Les règles sont donc un processus extrêmement salutaire, qui explique souvent pourquoi les femmes sont bien souvent plus disposées à «changer», que les hommes, à évoluer, tout leur être intérieur étant en permanent renouvellement.

 Ce qui explique aussi pourquoi, par exemple, d’une relation à l’autre, une femme a besoin de tant «de temps», (qui parfois pour l’homme paraît une éternité), pour recréer en elle de l’espace et vivre une nouvelle passion.

 Les douleurs des femmes viennent parfois de la quantité de ces mémoires, ou plutôt de leur densité. La pression exercé par le feu fait donc l’effet d’un ballon d’eau trop gonflé, provoquant la douleur.   Cela peut venir également de systèmes de défenses générés inconsciemment par la femme pour se protéger de situations, relations et atmosphères qui la gênent. Systèmes qui ne veulent pas lâcher et font l’effet d’une serrure qui se resserre, s’auto-bloque.

 Modestes conseils

Je recommande donc aux femmes qui ont des règles douloureuses d’abord de ne pas les empêcher par la voie médicamenteuse (j’ose à peine en imaginer les effets psychologiques au vu de ce que nous venons de dire), et même d’éviter les anti-douleurs : la douleur est transformation, et empêcher la douleur c’est empêcher cette dernière.   

 Je recommande plutôt les auto-massages au niveau des ovaires, (mouvement en cercles), pour aider les mémoires sombres et le feu à sortir, le magnétisme (reiki ou autre_ un fluide plutôt yin et apaisant) et surtout l’introspection.  Que la femme «plonge» en elle même, dans les profondeurs de son corps comme à l’intérieur de la mer, pour «comprendre», visualiser ce qui fait si mal et bloque. On sait que tout nœud karmique, une fois visualisé et «exploré» jusqu’au centre, se défait beaucoup plus facilement.

 Cette époque harassante et pleine de sollicitations idiotes laisse peu de temps au femmes pour faire ces travaux d’introspection  et c’est bien dommage, car le monde en a plus que jamais besoin.

 La condition ultime pour vivre au mieux ce processus étant pour la femme de se relier au sacré, via la religion, la contemplation de la Nature, la respiration, la méditation… Ce sacré qui, dans notre culture représenté par la Vierge, énergie cosmique et universelle, nettoie tout et enlève toute les douleurs.

La sclérose en plaques, observations

La sclérose en plaques, observations

Je voudrais faire part de quelques observations au sujet de la SEP; j’ai pu observer les corps subtils de plusieurs personnes atteintes de cette maladie.   Ce qui en ressort de remarquable est une surcharge d’énergies «métal», présentes surtout dans le bas du corps, comme si de gros morceaux de ferraille entortillés étaient collés aux membres de la personne.   

Dimension émotionnelle

 D’un point de vue psycho-émotionnel, il semblerait que la personne se soit adjointe des «charges» surhumaines, qu’elle ait accepté des compromis sociaux vraiment au-dessus de ses forces et moralement parfois discutables. Par exemple être systématiquement le «sauveur» des membres de sa famille, de se sacrifier pour les désirs d’un-tel, etc.

 Comme c’est le cas pour à peu près toutes les maladies, une fois que la surcharge énergétique négative a passé un certain seuil d’intensité, elle «somatise», il y a une réponse dans le physique.

 Or, comme c’est souvent le cas également, si la personne courageusement rompt avec les causes externes de son mal-être, il semble que cela «fasse partir», du moins en partie , ces «formes» métalliques.

 Des porteurs

Il semble que les personnes atteintes de cette maladie soient en général du genre à «porter» pas mal, à se charger héroïquement de situation dures.    A mon sens ils faut qu’elles choisissent _car si telle est leur nature, qu’elles portent_ des charges plus «justes», vraiment utiles à la société, au monde; au lieu d’être les soutiens de la faiblesse de quelqu’un d’autre : ainsi les énergies métalliques gênantes se transmutent, elles deviennent plus légères, lumineuses, absolues…      Un peu comme un métal qui se transmute donc.

 D’un point de vue symbolique, à mon sens, que la gaine des nerfs soit attaquée, signifie donc qu’il y a un problème avec le lien ;  la gaine est ce qui porte ou protège, et les nerfs le lien.

So what ?

Donc deux choses : d’abord couper avec certaines relations toxiques de soumissions, de sacrifices, puis «transmuter» en choisissant des «charges» qui passionnent vraiment. La passion étant ce feu qui transmute le métal. Évidement ce sont des choses extrêmement difficiles pour la personne, des seuils à franchir, il y faut un courage réel.

 Cela accompagné par exemple par un magnétisme plutôt stimulant (plutôt feu) et des massages profonds et lents des jambes.

La polyarthrite rhumatoïde, observations

La polyarthrite rhumatoïde, observations

Les eaux stagnantes

 Il semblerait que les personnes souffrant de cette maladie aient une surcharge «d’eaux stagnantes» (en termes d’énergies) au niveau des reins (de la zone énergétique associée aux reins en MTC :  zone qui énergétiquement s’étend bien plus bas que ces-derniers).

Cela corresponds aux «égouts» du corps tels que les appelle la MTC (il y a un idéogramme particulier mais que je ne retrouve pas).

 En fait ces «eaux stagnantes» créent un «gonflement» (comme il peut y avoir dans d’autres organes, mais avec des énergies différentes; par exemple le foie avec sa bile noire), qui semble se répercuter dans les articulations : il y a souvent des phénomènes comme ça dans le corps, des correspondances, où un espace reproduit en micro ce qui se passe en macro (si par exemple j’ai l’estomac en feu j’aurai facilement une inflammation de la gorge, la langue rouge, etc.).

(Évidemment il y a un facteur génétique mais ce n’est pas tout; on sait que le génétique peut rester latent.)

 Signification émotionnelle

Or à quoi correspondent ces «eaux stagnantes» ?  Dans l’astral elles ont plutôt une couleur «vase» donc, nauséabonde.  Quand on y plonge par auto-hypnose on s’aperçoit qu’elles correspondent surtout à des peurs, souvent très anciennes, primitives. Il semblerait même parfois que ces peurs ne viennent pas du vécu (ce qui veut dire que nous héritons bien de mémoires plus anciennes; soit transmission ancestrale, préhistorique, soit même métempsychose …?)

 En tous cas ces peurs peuvent être extrêmement profondes, à tel point que la personne peut très bien ne pas les connaître.  Mais c’est bien «elles» qui produisent ce «gonflement». En tous cas si cela a lieu c’est qu’il y a beaucoup d’information accumulée qui demande à être transformée.    La maladie est donc un état de «tétanie» inconsciente du corps, provoquée par des peurs extrêmement profondes mais «actives», les articulations reflétant cet état, justement, cette tétanie extrême.

Comment faire ? 

Or comment contacter cette information, ces peurs ? Je pense que l’hypnose est un bon moyen.  C’est comme une descente dans les profondeurs, dans les bas-fonds du corps, cela demande beaucoup de courage.  Une fois que la personne «touche» ces peurs, parvient à les visualiser, à les «comprendre», c’est comme si l’on perçait une poche gonflée avec une aiguille, elles se dévident; dans l’astral on peut voir un flux noir sortant de la personne.

Une énergie nouvelle les remplace, avec un sentiment de soulagement évident. (On sent souvent un apaisement au niveau du bas du dos).

 Probablement alors l’inflammation de l’articulation diminue-t-elle de même.   Évidemment cela peut prendre beaucoup de temps, les reins pouvant contenir «beaucoup» de peurs. Cela demande de s’y reprendre pas mal de fois, avec des repos entre chaque session, le bouleversement provoqué étant puissant.

L’acupuncture peut aussi être un complément, pour aider à «vider» ces mémoires. Précisément en drainant les eaux stagnantes des reins.  Mais en général elles sont très profondes, refoulées (à plus forte raison justement si la personne en est malade), comme tapies sous la roche, à tel point que la personne doit y «descendre» patiemment avec sa conscience, sans hâte, comme de la plongée sous-marine.

 Peut-on arriver à une guérison totale ? Il faut l’espérer; mais en tous cas à une diminution des symptômes.

Les douleurs chroniques sans causes apparentes

Les douleurs chroniques sans causes apparentes

De plus en plus de personnes se plaignent de douleurs récurrentes à certaines parties du corps, parfois allant jusqu’à les empêcher de dormir, ou simplement gêner leur concentration.

 Ils n’ont pas de traumas particuliers, peuvent avoir une bonne posture, une bonne hygiène de vie, être sportif…    

Alors d’où cela vient-il ?

 Eh bien comme je l’explique dans mon article sur la fibromyalgie, cela vient surtout, en réalité, de formes énergétiques «lourdes» qui cherchent à se libérer, cette tension vers la libération provoquant la douleur.   

 C’est comme, si vous voulez, des bouts de métal qui était incrustés en vous, des fluides nocifs, du feu, des acides, des pierrailles, et que tout cela cherchait à sortir malgré tout, votre corps énergétique les expulsant.

 Je vais donner quelques exemples, en citant des douleurs «types» :

 Les douleurs «étau» au niveau scapulaire :

 C’est comme si l’on vous enserrait dans un carcan, quelque chose qui se resserre sur-lui même… La sensation que vos épaules se rapprochent l’une de l’autre, d’avoir comme des barres métalliques vous traversant d’un bout à l’autre…

 En réalité, ce sont bien des formes énergétiques type «métal», comme une armature de mur si vous voulez.     Ce sont des systèmes de défense que vous avez créés à un moment donné, pour une raison ou une autre.   Il faut replonger dans ces mémoires pour les faire sortir, faire comprendre à votre corps qu’il n’en a plus besoin.

 Les douleurs «couteau» à la base du cou, près de l’épaule

 Ce sont en général des remontées du système foie/vésicule biliaire pour la droite et du systèmes estomac-rate pour la gauche. C’est un feu (noirâtre plutôt côté droit et rouge côté gauche), qui, comme à l’intérieur d’une vieille cheminée bouchée, remonte le long des étages et pousse, pousse à la sortie pour se dégager….    Le mieux est de travailler sur l’organe d’origine directement, pour comprendre les causes de la surcharge et l’aider à s’en défaire

 Les douleurs «sac de pierres» au niveau des lombaire

 Ce sont des peurs coagulées au niveau des reins, un peu comme des pierres, donc. Il s’agit d’y plonger et d’insuffler au corps du courage, de la volonté pour les expulser et les remplacer par des forces moins encombrantes.

 Les douleurs-brulures au niveau milieu dos

 Surcharge du feu «rouge» digestif de l’estomac.   L’estomac étant symboliquement l’organe qui reçoit les informations du Réel et les transforme. Cette surcharge est générée par l’estomac lui-même en quelque sorte, car il perçoit qu’il y a beaucoup d’informations externes à prendre en compte (nécessités financières, urgences familiales… etc.).   

 Le personne doit se repositionner moralement et concrètement par rapport à ce stress externe pour que cette surcharge s’en aille. Le feu «piégé», comme c’est le cas souvent, sort «par derrière» en créant un raccourcissement spasmodique des muscles (plutôt ceux proches de la colonne : long épineux, grand dorsal…), avec parfois traction des vertèbres voisines hors de l’axe.

 Il y en a de bien d’autres types bien sûr.   Il importe à chaque fois de bien regarder d’où ça vient !