Cet article fait écho à celui que j’avais écrit il y a un certain temps, où je racontais mon parcours du combattant pour sortir de la fibromyalgie : https://lc-magnetiseur.fr/fibromyalgie-mon-temoignage, qui m’a conduit ensuite à devenir magnétiseur-énergéticien.
J’ai mis 3 ans à accepter d’entrer dans cette dimension
J’ai mis 3 ans à me résoudre à entrer dans la dimension énergétique du corps, à comprendre que les méthodes classiques, pour moi en tous cas, ne suffisaient pas.
On voit bien, avec la fibromyalgie, que la cause des douleurs n’est pas complètement physique. La plupart des examens effectués habituellement (j’en avais fait pas mal : examens neurologiques, digestifs, métaboliques…), ne révèlent en général pas de problèmes flagrants.
Un acupuncteur assez renommé à Paris m’avait dit que les douleurs dont je souffrais n’étaient que la dimension « mécanique » du problème. A l’époque, je n’avais pas bien compris ce qu’il voulait dire.
Une dimension non physique
En fait, pour moi, la cause profonde de la fibromyalgie, ou les causes, ne sont pas dans le monde physique. Mais dans le monde métaphysique, dans ce qu’on appelle « les corps subtils ». C’est de l’autre côte de la feuille, de l’autre côté du miroir.
Certains ont fait des classifications de ces corps, les séparant en 7 ou 8 (corps astral, corps mental…). Mais moi qui suis clairvoyant très avancé depuis plusieurs années (tan pis pour la modestie), j’observe que c’est beaucoup plus complexe que ça et qu’il y en a une infinité.
Dans le monde des énergies, il y a des formes et des masses, mais l’espace s’envisage différemment. Ce n’est pas un espace euclidien où les dimensions et proportions sont clairement définies. Tout bouge, tout est vivant, et les choses s’imbriquent les unes dans les autres à l’infini.
Des verrous
Bref, dans ce monde, dans cette dimension du corps, il peut également y avoir des problèmes, des blocages, des conflits.
Et pour moi, c’est cela qui va finir par créer des douleurs physiques. Bien que le confit ne soit pas physique à la base, il devient physique. Ces deux dimensions de notre être, physique et métaphysique, communiquent entre elles.
Ces blocages, ces verrous, peuvent être d’origines émotionnelles, familiales, karmiques…
La clé
La clé, c’est de réussir à faire passer la personne dans cette dimension du corps, de manière consciente, pour qu’elle puisse voir elle-même la cause cachée de ces verrous, et agir dessus.
Après, cela peut aller assez vite. Mais c’est un apprentissage !
Évidemment, les soins énergétiques peuvent aider, mais souvent, comme pour la plupart des problèmes chroniques, beaucoup incombe à la personne elle-même.
Cela n’empêche pas, bien sûr, qu’il y ait une prise en charge médicale classique. Il faut agir à tous les niveaux.
Mais je pense que l’avenir de la science (c’est une opinion) est de s’intéresser à la dimension non physique du corps.
En tous cas, pour moi, la maladie m’a contraint à faire ce voyage merveilleux « à l’intérieur de mon être », dans cette dimension, ce qui fut au final extrêmement libérateur.
Beaucoup connaissent ce passage des Évangiles, dans lequel Pilate demande à Jésus, qui lui a été livré, à l’issue d’autres paroles échangées : ‹ Qu’est-ce que la Vérité ? ». L’Évangile de Jean ne dit pas si Jésus a répondu ou non. Dans la plupart des version filmées, Jésus regarde Pilate sans rien dire.
A quoi pensait Jésus à ce moment-là ? On peut interpréter ce passage d’une infinité de manières.
Pour moi, ce qu’il voulait communiquer à ce moment, c’est que la Vérité tel qu’il l’entendait, ce n’est pas un concept, mais une sensation, une flamme. Quelque chose de total et de prenant, indéfinissable, qui nous envahit, nous saisit. Cette flamme invisible qui habite tous les êtres et leur donne leur conscience particulière.
Il venait d’être gravement molesté par les légionnaires et n’avait peut-être pas le temps ni l’envie de philosopher, il voulait exprimer les choses le plus directement possible. Peut-être son silence était-il le meilleur moyen de représenter ce qu’il pensait alors.
Il y a les vérités objectives et factuelles, mais cette Vérité avec un grand V est à la fois l’objectif et le subjectif.
C’est Ce qui crée la conscience, avant même les pensées.
Quand Dieu se manifeste dans la Bible, c’est souvent sous forme de flamme. Jésus, avant d’ascensionner, dit à ses disciples : « Ne me touchez pas. ». On peut penser qu’il est alors une forme, une expression de ce Feu.
C’est d’ailleurs le premier élément du zodiaque. C’est l’élément divin par excellence.
Les Trois Feux
Qu’est que le Feu du Cœur, alors ? C’est l’expression de ce Feu-énergie, de cette Vérité, dans le chakra Cœur.
Dans la théorie énergétique, il y a trois feux principaux :
_Le magma, le Feu « des tripes », qui vient du Chakra racine, et gère l’ancrage, les pulsions diverses, et en se subdivisant dans les organes abdominaux donne les différents Feux digestifs.
_Le Feu du Cœur, donc.
_Le Feu de la tête, ou Feu spirituel qui donne la vivacité à la Pensée, qui de part son énergie permet de créer des images et des pensées…
Tous trois, bien sûr, s’alimentent les uns les autres et sont issus du même Feu divin et primordial.
Mais pourquoi je souhaite porter l’attention ici sur le Feu du Cœur ? Parce que je pense que c’est le meilleur indicateur, pour savoir si l’on est bien dans Sa Vérité, dans son juste Chemin de vie. C’est la partie complètement subjective (mais importante) de cette Vérité dont parle Jésus.
Un Chakra capricieux
Le Feu du Cœur, l’énergie principale du Chakra en question, est par définition quelque chose de très insaisissable. Il est assez facile d’activer les Chakras inférieurs par la pratique et l’exercice, mais il est très difficile d’activer le Chakra Cœur (et donc son Feu) par la seule Volonté.
Il est quasi autonome, il a sa Vie propre. C’est pourquoi je m’étonne un peu de ces pratiques visant à l’ouvrir ou l’activer, et même à l’utiliser (par exemple comme énergie de guérison), par l’exercice ou l’auto-suggestion.
Il est comme un chat, il n’en fait qu’à sa tête.
En fait, il ne s’active que lorsque ce qu’on est en train de vivre, de voir, de dire, de faire… est conforme à notre nature profonde, à notre âme. Il est meilleur expression vivante de la vie et de l’approbation de l’âme.
C’est pour ça que c’est la Chakra de l’amour, on ne peut pas le forcer.
Sa couleur est plutôt rouge-ambroisie, je dirais, comme de la confiture de cynorhodon, avec des chatoiements de toutes les couleurs.
Un Maître Zen contemporain dit que lorsque le Chakra Cœur s’ouvre, cela a une saveur de mate (l’herbe) chaud.
Le meilleur indicateur
On sait tout de suite lorsque ça arrive, c’est d’une évidence absolue.
Beaucoup de gens vivent, malheureusement, avec ce Chakra ne s’activant presque jamais. Pour moi, c’est un peu « les mort » (« Laisse les morts enterrer leurs morts » Lc, 9, 60) dont parle Jésus. Ils peuvent être très intelligents, cultivés… Mais ayant perdu la sensation de son ouverture, ils ne la recherchent même plus. Ils remplacent cela par le plaisir ou l’addiction.
C’est donc le meilleur indicateur pour savoir si ce à quoi on est, à tel au tel moment, nous correspond ou pas. Il faut y être attentif, être conscient de ses petites flammes premières, pour établir ses choix.
C’est un peu, peut-être, ce que Jésus essaie de nous dire sur cette fameuse représentation qu’on voit souvent dans les Églises : « Écoute cette énergie, cette pulsation, car au-delà de tout ce que tu peux voir ou entendre, elle sait mieux que tout ce qui est bon pou toi. »
C’est un sujet qui m’affecte depuis quelques années déjà, et qui rend parfois mon sommeil difficile. J’ai l’impression que l’anxiété nocturne affecte de plus en plus de personnes, et tous cas je vois pas mal de personnes concernées en cabinet. Je ne prétends pas donner la clé du problème, simplement faire part de certaines choses observées.
Autrefois on parlait plutôt « d’angoisse », tout comme on ne parlait pas de dépression mais de « mélancolie ». On a une manière plus aseptisée de décrire les choses, mais je ne crois pas que ça réduise le problème, au contraire.
On parle d’ « anxiété de fond » en psychologie, je crois. Pour désigner une anxiété qui n’a pas de causes évidentes, qui n’est pas reliée à un évènement concret particulier. En effet, c’est souvent ce qui caractérise l’anxiété nocturne. On croit que tout est en ordre, on se couche, et pourtant la pensée virevolte comme une machine à laver. Impossible alors de se laisser sombrer dans le sommeil, ce tournoiement incontrôlé nous maintient à la surface.
Depuis l’année 2020, cela m’est arrivé de nombreuses fois. Comme j’ai l’habitude de sonder mon propre intérieur, je pense avoir compris des choses.
Un profond vortex
Imaginez une hélice qui tournerait sous l’eau à quelques mètres de profondeurs : on verrait de l’écume se créer à la surface. Ça, c’est l’agitation du mental. Mais ça ne vient pas du mental.
A mon sens, toutes ces méthodes qui consistent à annihiler le mental, à le considérer comme un problème, sont limitées. C’est d’ailleurs un débat vieux de plusieurs siècles : dans la Chine ancienne, un méditant de haut vol qui se vantait de pouvoir arrêter sa pensée pendant plusieurs minutes était allé voir le grand Maître Chan Hui Neng pour lui en faire part. Ce-dernier lui avait répondu : « Moi, j’ai mille pensées en même temps ! »
Cette obsession d’éteindre la pensée m’a toujours paru une choses étrange. La pensée est une grande force de création, elle nous permet de modéliser notre futur, comme avec une imprimante 3D, si l’on sait s’en servir.
Or, s’il y a une agitation de la pensée c’est que, pour moi, il y a, en profondeur, quelque chose qui n’est pas stable. ça vient de l’émotionnel profond, disons, ou du subconscient. En énergétique, on parle de vortex, c’est à dire un mouvement d’agitation de l’énergie sur elle-même.
Or, à ce niveau, rien ne se produit par hasard. S’il y a une agitation profonde qu’on ne peut vaincre par la seule volonté, c’est pour une raison ! Le subconscient n’est pas si idiot !
Ce subconscient dont je parle, pour moi, n’est autre qu’une sagesse profonde, c’est une forme de l’intuition. Il a un agitation, mal-être quand l’intuition profonde et la pensée cognitive ne sont pas accordée, comme deux musiciens seraient en dissonance.
Il s’agit avec la pensée de se mettre en accord avec cette intuition, laquelle donc génère une agitation.
J’espère que je me fait comprendre, ce sont des choses subtiles sur lesquelles il n’est pas toujours aisé de mettre des mots.
Donc à quoi est reliée cette agitation ? C’est par l’introspection méditative que j’ai pu comprendre ça.
La bande passante
On va devoir parler de métaphysique, ceux que ça gêne peuvent passer leur chemin.
Bon, pour moi, il y a un monde métaphysique, avec ses lois, sa vie propre… Jean-Pierre Petit parle donc de Noosphere (du grec Noos, « esprit »). D’après lui, ce monde pourrait être mis en équations mathématiques. Il sous-entend d’ailleurs, d’après ce que je comprends, que le science ne pourra évoluer réellement que lorsque elle le prendra en compte…
Ce monde est fait de réalités vivantes, changeantes… En fait notre intuition est reliée à ce monde, elle en perçoit un morceau.
C’est un flux immense d’informations, c’est tout ce qui s’assemble et se forme pour former plus tard une réalité physique, visible.
Parfois, ce flux est plus fort que d’habitude, un peu comme un cours d’eau déchaîné, pour une raison ou une autre, et notre intuition le perçoit, le capte, ce qui crée une agitation.
C’est surtout la nuit que ça se passe, puisque à ce moment le cognitif se relâche et l’intuitif émerge. Mais à nouveau, le mental est agité par cette activité qui remonte, comme des courants contraires créant un tourbillon, donc.
De quoi est faite cette information, ce flux ? Cela dépend. Parfois, dans mon cas, ce sont des messages-images concernant des évènements qui pourraient arriver plus tard. D’autres fois, c’est plus subtil, c’est de l’énergie pure, comme un travail qui serait fait pour moi, sur ma personnalité profonde. Un peut comme une mise à jour d’ordinateur pour en modifier le software.
Je pense que l’informatique, d’ailleurs, n’est qu’une imitation amoindrie du monde métaphysique, du monde de la pensée.
Il s’agit donc d’aller à la rencontre de cette information, avec la conscience, de se brancher à elle et d’accepter qu’elle nous soit intégrée. Sans quoi la pression est plus forte et donc l’agitation qui en découle également.
Comment aller à cette rencontre ? Par la méditation ou la prière. Cela dépend des personnes, chacun trouve sa méthode.
Avec les personnes qui viennent en cabinet, on essaie de trouver la méthode qui convient, même si ce n’est pas toujours facile, immédiat.
« Tourner l’esprit vers l’intérieur » comme on dit dans le Zen, et y descendre, cette activité d’introspection de tout temps nécessaire à l’homme (à des moments particuliers bien sûr, on ne peut pas être incessamment tourné en soi), est quelque chose de si difficile de nos jours, de si ringardisé…
Pourtant, dans ces cas-là, je vois pas d’autres solutions…
Parfois, des personnes me demandent si je peux leur « redonner de l’énergie ».
Effectivement, je pense que par les soins on peut insuffler un peu de vitalité à quelqu’un, mais ça reste, à mon sens, assez limité.
Il faut plutôt essayer de comprendre ce qui empêche la personne d’accéder à ses sources « naturelles » d’énergie.
Les Forces vitales
Nous avons en nous de nombreuses « forces vitales », des puissances invisibles qui nous font nous lever le matin et avancer, des ressources. Elles sont à la fois à l’intérieur et à l’extérieur de nous. Il est difficile de les classer et les délimiter, car, tout comme les éléments dans la nature, elles circulent, changent de formes, se mélangent… La Médecine traditionnelle chinoise a sans doute essayé d’en faire une description la plus précise possible.
Elles viennent à la fois de nos profondeurs, de notre âme, de nos organes, et du monde extérieur, des environnements que nous traversons. Bien sûr aussi, de la nourriture que nous consommons.
Il faut comprendre que dans le monde invisible, l’intérieur rejoint l’extérieur, les espaces sont emboîtés les uns dans les autres comme des poupées russes, et les formes fusionnent entre elles ; c’est une géométrie complexe.
Donc, quelque chose peut bloquer l’accès à ces forces vitales. C’est ça qu’il faut regarder.
Cela, bien sûr, quand la fatigue chronique n’a pas des causes évidentes : surmenage, carence…
Quelques causes possibles :
Les vieux mécanismes sont rouillés
C’est à dire qu’on est arrivé au bout d’une manière de fonctionner, l’énergie que générait cette conjecture est épuisée.
Donc, « les ténèbres du corps », l’inconscient, nous envoie une forme de fatigue, une fatigue « psychologique », pour nous faire aller vers autre chose :
Par exemple, dans sa manière de considérer la réussite : arrêter de considérer tel ou tel groupe, tel milieu… comme une confirmation possible de sa propre réussite. Sortir de ce cadre, et considérer que sa réussite peut passer d’autres biais, d’autre milieux.
Ou dans sa manière de considérer les partenaires sexuels potentiels : chercher en eux des ressources, des qualités différentes que celles habituellement recherchées, etc. Ou chercher différemment.
Ou dans son rapport à l’argent : mettre de côté les revenus rapides pour privilégier les revenus long terme.
Etc, etc… Car dès qu’on change assez conséquemment nos positionnements par rapport à quelque chose d’extérieur, une réalité importante du monde, nos structures énergétiques profondes changent aussi, elles se renouvellent. Et nous pouvons ainsi capter de nouvelles sources d’énergie.
Cette fatigue chronique est un signe que quelque chose est à revoir dans le déroulement de notre existence.
Les résurgences du passé
Il est une évidence pour beaucoup, aujourd’hui, que notre corps a une mémoire émotionnelle. Il « stocke » des événements du passé, des périodes, des époques… Un genre de mémoire « lourde », semblable à la « mémoire morte » des ordinateurs. Pour la Médecine Chinoise Traditionnelle, ces « poches de mémoires » se situent principalement dans les organes vitaux. Ils appellent cela des « mers ».
Mais, de la même manière que pour des contenants physiques, on peut penser que cette capacité à stocker de la mémoire est limitée, ou du moins que, plus il y a de contenu, plus le contenant est lourd. Ce qui pourrait donc entraîner une sensation de lourdeur physique, ou une activité plus laborieuse de l’organe en question, donc une fatigue chronique.
Ou bien, et c’est un peu la même chose, il semble que, par moment, le subconscient souhaite se « débarrasser » de cette charge mémorielle, pour renouveler sa dynamique. Dans ce cas, souvent, la conscience se voile : on se sent lourd, vaseux, comme si l’on portait sur son dos des citernes d’aux sales, etc. L’information contenue dans ces dites « mémoires » se diffuse dans tout le corps et dans la conscience, elle déborde.
Ce processus peut durer longtemps, plusieurs mois voire plusieurs années, ce qui génère donc une sensation de fatigue chronique.
L’idée est que, dans ce cas, il faut « aider » le processus, ne pas chercher à le piétiner en se forçant à « aller bien » ou à « avoir la pêche ». Ces mémoire, ce substrat, vient des profondeurs, et son processus naturel est de s’évaporer vers l’espace, « le Ciel », l’énergie cosmique…
Comment aider, donc ? Encore une fois, par diverses méthodes : la respiration profonde qui permet d’apporter du prana aux organes vitaux, et donc d’aider cette libération, un peu comme Héraclès avec les écurie d’Augias.
Ou bien en visualisant la « substance » de cette fatigue, sa couleur, son épaisseur… Ou même la ou les époques avec lesquelles elle serait associées, si donc elle provient bien d’un « passé » quelconque. Ce n’est pas toujours agréable, on a même parfois des odeurs imaginaires nauséabondes (une même énergie peut se manifester par les cinq sens) qui remontent à la perception, mais ça fait partie du job. C’est vraiment comme brasser de la vase, parfois…
Si, à l’issue de ce travail on sent un allègement général, ne serait-ce que temporaire, c’est le signe que ça fonctionne, donc il faut continuer.
Les charges externes
La fatigue chronique peut également venir de choses « accrochées à nous ». Par exemple, si on a été mêlé, au travail, à des situations conflictuelles, les égrégores (ou structures énergétiques) de ces conflits auraient éclaboussées sur nous en quelque sorte, entraînant un stress ou une rigidité qui pourrait demeurer des années ensuite…
Sans parler des charges occultes, qui ne sont que des projections énergétiques renforcées par des rituels.
Les personnes qui n’ont pas de spiritualité authentique, intense, sont moins protégées, et elles peuvent moins facilement dépasser ces états de rigidité de l’existence.
En résumé, la fatigue chronique est un signe que les matériaux de notre être sont à balancer comme de la vieille ferraille, ou à renouveler profondément. C’est ainsi ! Ce qui n’évolue pas décroît et dépérit !
Comme j’en parle dans d’autres articles, j’ai traîné pendant 8 années ce qu’on appelle aujourd’hui « fibromyalgie », donc j’ai appris à connaître un peu le sujet de manière subjective. De plus, je reçois des personnes depuis 3 ans environ aujourd’hui, ce qui fait que j’ai pu observer pas mal de choses à ce sujet, ce problème étant assez répandu.
Beaucoup de personnes souffrent aujourd’hui de douleurs chroniques plus ou moins quotidiennes et plus ou moins diffuses, sans qu’il y ait de causes mécaniques très évidentes.
Je propose d’aborder le problème du point de vue de l’énergétique. Ce qui n’empêche pas de l’aborder du point de vue mécanique, parallèlement, bien sûr.
Embouteillage énergétique
A mon sens, le plus souvent, derrière une douleur chronique, il y a un blocage, une circulation laborieuse du « fluide vital ». (Quand on me reproche d’être un peu obscur dans mes explications, je réponds qu’il n’y a, pour le moment, pas ou peu de vocabulaire pour parler de ces réalités, donc je suis obligé de mettre des guillemets ou de parler de façon métaphorique. C’est un peu comme de découvrir de nouvelles espèces animales sur une autre planète, on ne peut parler que par analogie.)
De même que la Terre dans ses entrailles, nous avons en nous, à un niveau subtil et non visible, un « magma », qui est notre vitalité et qui permet les grandes transformations, voire les transmutations (ou changements de la nature profonde) de notre être. Or, il se peut que, pour une raison ou une autre, cette circulation soit empêchée, à un ou des endroits précis, pour des raisons diverses.
La Vie doit circuler, au-delà même de nos opinions ou notre bon vouloir, c’est comme ça.
Quelques causes
Je propose de citer quelques causes possibles, ce qui pourrait aider à une réflexion chez les personnes concernées :
Le refoulement
Parfois, les douleurs chroniques peuvent être causées par un besoin très profond, qu’on réprime en soi. On peut être plus ou moins conscient de ce besoin, mais nos constructions morales, nos visions de l’existence, nos préjugés… peuvent nous faire considérer que ce besoin est totalement secondaire ou même méprisable. Ce peut être, par exemple, d’apprendre le piano classique ou le tir à l’arc ! Parfois, ces aspirations émergent en nous, parce que notre subconscient, disons, considère que c’est une bonne façon de nous faire évoluer, que de nous pousser à nous consacrer à ces activités.
Je ne parle pas de pulsions malsaines bien sûr, qui ne sont en fait que des déviations de besoins fondamentaux. Pour comprendre il faut aller au cœur de la douleur avec la conscience, comme avec une aiguille à tricoter. C’est là qu’on peut véritablement saisir la cause de ce besoin, et voir comment le satisfaire dans la réalité.
Quand ce besoin émerge, une énergie, un bouillonnement émerge de la même manière, faite de ce magma, qui n’est que la force de propulsion qui permettrait de la réaliser ! Or, si on en fait rien, cette énergie, cette force, deviendra nocive, toxique, elle nous brûlera de l’intérieur.
Voilà pourquoi on dit que « l’oisiveté est la mère de tous les vices », car c’est empêcher notre énergie vitale de se déployer, et ainsi la faire aller vers son aspect le plus pervers et destructeur !
Il faut essayer de vivre ses rêves, de vivre la vie dans la réalité, aucun bonheur n’est possible en demeurant dans le virtuel.
Les mécanismes de défenses
Les douleurs chroniques peuvent être également le fruit de mécanismes émotionnels que nous avons inconsciemment créés, des verrous, lors de situations difficiles, pour nous protéger d’une influence désagréable voire violente, qu’elle soit physique ou subtile.
Un ancien enfant battu avec qui je discutais me disait qu’il souffrait régulièrement de douleurs aux épaules, qu’il avait très verrouillées. C’était simplement des mécanismes de protection qu’il avait développé pour se protéger la tête quand son père lui lançait des objets.
On peut également développer ce genre de mécanismes face à un conjoint menaçant par exemple, ou au sein d’une atmosphère professionnelle détestable, etc. ; sans qu’il y ait pour autant, d’ailleurs, une menace physique évidente.
La douleur chronique n’est, dans ce cas, qu’un signal de notre corps, que notre manière d’être et d’agir ne lui convient plus, en quelque sorte.
Même si l’évènement négatif est passé pour notre conscience, il ne l’est peut-être pas pour notre corps, qui a une mémoire extrêmement profonde et riche.
Du costaud
Un mécanisme de ce genre est parfois très difficile à déconstruire, il est souvent au-delà même des croyances, au-delà du Verbe. Il faut aller dans la mémoire sensitive, au-delà des mots. Une séance d’EMDR ne suffit pas forcément, bien que cela puisse être une manière de commencer.
Les meilleurs outils, à mon sens, sont la visualisation et la respiration, laquelle est la vie même, le mouvement de l’énergie.
Tous cela est rarement évident. Entre vouloir et pouvoir il y a tout de même souvent un monde. Il faut accepter de se confronter à ce qui est dur et revêche. C’est difficile de rentrer dans la mémoire sensitive, il y a des méthodes variés. Je renvoie les lecteurs qui le souhaitent à cet article : L’introspection (énergétique) – Laurent Costamagna Magnétiseur (lc-magnetiseur.fr)
Quand la douleur chronique commence à se dissiper, c’est le signe que notre conscience est allée assez profond, et que quelque chose en nous se renouvelle.
Les charges occultes
Alors là, c’est un sujet dont je peut difficilement parler comme ça, de manière ouverte. Pour diverses raisons, d’abord parce que cela fait peur, ou parce que ça touche à ésotérisme, etc. Disons que, parfois, il peut y avoir des choses, des « objets » non visibles, des formes-pensées qui s’accrochent à nous et fonctionnent comme des armes, et peuvent générer à la longue des douleurs chroniques.
Je ne force personne à y croire, bien entendu, mais je ne crois pas que la solution soit d’écarter ce sujet d’un revers de la main.
Je peux en parler plus en détails en seul à seul, bien évidemment.
Ces forces peuvent donc également jouer le rôle de verrou de l’énergie vitale, et donc générer des douleurs chroniques.
La transmutation des structures profondes
C’est quelque chose de très difficile à décrire. C’est quand ce qui nous compose profondément, notre « squelette spirituel », change de nature. Comme du plomb en or ou du charbon en diamant.
Dans le christianisme, c’est Paul le tyran devenant l’un des premiers artisans de la doctrine chrétienne, par exemple.
C’est quelque chose de très très puissant, mais qui génère et nécessite une énergie immense, le bouillonnement incandescent de ce magma, à sa plus haute intensité. Cette activité peut donc générer des douleurs chroniques.
L’idée est qu’il ne faut pas bloquer le processus, mais le comprendre et l’accompagner, sans quoi on risque « l’explosion du creuset », c’est à dire une concentration extrême de ce feu, laquelle se libère comme elle peut, parfois donc en douleurs chroniques importantes.
C’est là qu’il faut vraiment ouvrir et écouter son cœur pour comprendre dans quelle « direction » notre magma vital veut nous faire évoluer.
Conclusion
Il y a sans doute d’autres genres de causes possibles. De plus, il peut, dans un cas précis, y en avoir plusieurs à la fois. Un même phénomène est souvent généré par plusieurs causes.
La douleur chronique est souvent le signal que quelque chose doit changer. Dans nos relations, nos choix de vie, notre quotidien, notre manière d’être, de percevoir et ressentir, de respirer…
Lors d’un soin énergétique, bien qu’il puisse y avoir un apaisement après coup, il est bien rare que le problème soit réglé en une fois. Une douleur chronique cache bien souvent d’autres problématiques, ce n’est que le bouchon de la bouteille ! Mais j’ai au moins, quasiment à chaque fois, des éléments de réponses importants.
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